Abidjan- Kigali, la capitale du Rwanda, abrite depuis le 23 novembre 2020 le 18ème Sommet sur le Genre (GS18) sous le thème, "L'Agriculture vue sous le prisme du Genre : de la survie à la prospérité dans un contexte de changement climatique".
Organisé par l'Institut panafricain des sciences mathématiques (AIMS), en collaboration avec Portia Ltd, la rencontre est prévue pour s’achever le 2 décembre, selon un communiqué transmis, jeudi à l’AIP.
"Notre engagement en faveur de l'excellence scientifique est lié à une approche délibérée visant à promouvoir l'égalité des sexes et l'inclusion, qui s'inscrit dans le cadre du 5ème Objectif de développement durable (ODD 5), dont l'objectif est de parvenir à l'égalité des sexes et à l'autonomisation de toutes les femmes et les filles", a déclaré la présidente directrice générale d'AIMS, Lydie Hakizimana.
Selon Mme Hakizimana, pour cerner les questions qui touchent de manière inégale les hommes et les femmes, les programmes prennent en compte la dimension de genre, en l'intégrant dans toutes leurs initiatives. Il s'agit, soutient-elle, d'assurer une participation plus complète des femmes africaines à la recherche, à l'innovation et au développement est l'un des objectifs du Sommet sur le Genre et le moyen le plus efficace de créer les connaissances nécessaires pour construire des écosystèmes d'innovation intelligents et équitables en Afrique, et pour l'Afrique.
« Le 18ème Sommet sur le Genre démontrera l'importance de faire avancer les connaissances en matière de genre dans la recherche et les pratiques agricoles en Afrique, comme le meilleur moyen de parvenir à la sécurité alimentaire et nutritionnelle pour tous. La diversité des intervenants du GS18 : scientifiques, spécialistes des questions de genre et du développement, venus de toute l'Afrique et d'ailleurs, ouvrira la voie à des collaborations efficaces entre la science, la société et les parties prenantes afin de garantir que la mission « faim zéro » de l'Agenda 2030 des Nations Unies pour le développement durable ne laissera pas les femmes en rade », a déclaré pour sa part la directrice de Portia Ltd, Elizabeth Pollitzer, fondatrice du Sommet sur le Genre.
Depuis 2011, le Sommet sur le Genre offre un forum permettant de relier des acteurs essentiels tels que les scientifiques, spécialistes des questions de genre, décideurs politiques, instituts de recherche, organismes de financement et la société civile, afin de mener des actions de transformation communes pour faire progresser la compréhension des questions de genre en vue de recherches et d'innovations durables et efficaces.
Les plateformes du Gender Summit Africa présentent et discutent de la recherche sous le prisme du genre pour une compréhension scientifique des questions qui sont importantes pour l'Afrique, pour veiller à ce que les résultats et les applications de la recherche bénéficient aux femmes et aux hommes de manière égale, et de tracer des pistes d'amélioration.
L'Institut panafricain des sciences mathématiques (AIMS) est un réseau panafricain de centres d'excellence pour la formation supérieure en sciences mathématiques, la recherche et l'engagement du public en matière de STIM.
Quant à Portia, elle est une organisation à but non lucratif fondée à Londres et établie en 2001 par un groupe de femmes scientifiques de l'Imperial College London, pour faire avancer la compréhension des questions de genre dans les sciences, la participation, et les pratiques organisationnelles.
aaa/fmo
Organisé par l'Institut panafricain des sciences mathématiques (AIMS), en collaboration avec Portia Ltd, la rencontre est prévue pour s’achever le 2 décembre, selon un communiqué transmis, jeudi à l’AIP.
"Notre engagement en faveur de l'excellence scientifique est lié à une approche délibérée visant à promouvoir l'égalité des sexes et l'inclusion, qui s'inscrit dans le cadre du 5ème Objectif de développement durable (ODD 5), dont l'objectif est de parvenir à l'égalité des sexes et à l'autonomisation de toutes les femmes et les filles", a déclaré la présidente directrice générale d'AIMS, Lydie Hakizimana.
Selon Mme Hakizimana, pour cerner les questions qui touchent de manière inégale les hommes et les femmes, les programmes prennent en compte la dimension de genre, en l'intégrant dans toutes leurs initiatives. Il s'agit, soutient-elle, d'assurer une participation plus complète des femmes africaines à la recherche, à l'innovation et au développement est l'un des objectifs du Sommet sur le Genre et le moyen le plus efficace de créer les connaissances nécessaires pour construire des écosystèmes d'innovation intelligents et équitables en Afrique, et pour l'Afrique.
« Le 18ème Sommet sur le Genre démontrera l'importance de faire avancer les connaissances en matière de genre dans la recherche et les pratiques agricoles en Afrique, comme le meilleur moyen de parvenir à la sécurité alimentaire et nutritionnelle pour tous. La diversité des intervenants du GS18 : scientifiques, spécialistes des questions de genre et du développement, venus de toute l'Afrique et d'ailleurs, ouvrira la voie à des collaborations efficaces entre la science, la société et les parties prenantes afin de garantir que la mission « faim zéro » de l'Agenda 2030 des Nations Unies pour le développement durable ne laissera pas les femmes en rade », a déclaré pour sa part la directrice de Portia Ltd, Elizabeth Pollitzer, fondatrice du Sommet sur le Genre.
Depuis 2011, le Sommet sur le Genre offre un forum permettant de relier des acteurs essentiels tels que les scientifiques, spécialistes des questions de genre, décideurs politiques, instituts de recherche, organismes de financement et la société civile, afin de mener des actions de transformation communes pour faire progresser la compréhension des questions de genre en vue de recherches et d'innovations durables et efficaces.
Les plateformes du Gender Summit Africa présentent et discutent de la recherche sous le prisme du genre pour une compréhension scientifique des questions qui sont importantes pour l'Afrique, pour veiller à ce que les résultats et les applications de la recherche bénéficient aux femmes et aux hommes de manière égale, et de tracer des pistes d'amélioration.
L'Institut panafricain des sciences mathématiques (AIMS) est un réseau panafricain de centres d'excellence pour la formation supérieure en sciences mathématiques, la recherche et l'engagement du public en matière de STIM.
Quant à Portia, elle est une organisation à but non lucratif fondée à Londres et établie en 2001 par un groupe de femmes scientifiques de l'Imperial College London, pour faire avancer la compréhension des questions de genre dans les sciences, la participation, et les pratiques organisationnelles.
aaa/fmo
