Abidjan- Une délégation conjointe du réseau Ouest africain pour l’édification de la paix (WANEP) et du groupe national de réponse électorale (GNRE), a rencontré les 18 et 19 mars 2021, les jeunes et les autorités de la ville d’Adzopé (région de la Mé,) afin de prendre le pool de la situation en matière de violence électorale et de faire des propositions aux autorités ivoiriennes, en vue de leur résolution.
Ces rencontres, sous forme de causerie-débat, ont permis d’écouter une trentaine de jeunes, venus de différents quartiers et associations de la ville. Ces derniers ont relevé les problèmes qui minent la jeunesse, à savoir, le chômage, le manque de soutien des autorités locales dans leurs projets, la démission des parents, le manque de communication, etc. « Ces difficultés que nous rencontrons poussent nombre d’entre nous à la délinquance, la drogue, la prostitution… » ont-ils révélé.
Le second jour des rencontres concernait les autorités administratives, les chefs de communautés et les chefs autochtones, avec en tête, le secrétaire général de préfecture, M. Konan Kouamé Georges, qui représentait le préfet de région. Ces derniers, quant à eux, tout en confirmant les dires des jeunes, ont ajouté que « la pauvreté des parents, due à la mévente des produits agricoles a provoqué cette situation », tout en s’inquiétant de l’insécurité qui règne à Adzopé.
Au terme de ces deux jours d’échanges, la délégation du Wanep et le GNRE, avec à sa tête la Coordinatrice nationale du Wanep-CI, Mylène Kamara-Soro, a promis de rendre compte aux différentes autorités concernées pour un environnement apaisé lors des prochaines joutes électorales.
Cette mission du Wanep et du GNRE a organisé concomitamment, une autre mission à Abengourou (région de l’Indenié-Djuablin) et à Bondoukou (région du Gontougo) les 18 et 19 mars 2021. Ces misions sont organisées afin de répondre à un double impératif, notamment celui de renforcer la cohésion sociale et promouvoir la paix.
Le Réseau Ouest-africain pour l’Édification de la Paix (WANEP) a été fondé en 1998 et la section ivoirienne en 2003, en réaction aux guerres civiles qui ont durement touché l’Afrique de l’Ouest dans les années 90. Au fil des ans, il est parvenu à établir de solides réseaux nationaux dans chaque État membre de la CEDEAO, en rassemblant plus de 500 organisations membres dans l’ensemble de l’Afrique de l’Ouest.
tls/kam
Ces rencontres, sous forme de causerie-débat, ont permis d’écouter une trentaine de jeunes, venus de différents quartiers et associations de la ville. Ces derniers ont relevé les problèmes qui minent la jeunesse, à savoir, le chômage, le manque de soutien des autorités locales dans leurs projets, la démission des parents, le manque de communication, etc. « Ces difficultés que nous rencontrons poussent nombre d’entre nous à la délinquance, la drogue, la prostitution… » ont-ils révélé.
Le second jour des rencontres concernait les autorités administratives, les chefs de communautés et les chefs autochtones, avec en tête, le secrétaire général de préfecture, M. Konan Kouamé Georges, qui représentait le préfet de région. Ces derniers, quant à eux, tout en confirmant les dires des jeunes, ont ajouté que « la pauvreté des parents, due à la mévente des produits agricoles a provoqué cette situation », tout en s’inquiétant de l’insécurité qui règne à Adzopé.
Au terme de ces deux jours d’échanges, la délégation du Wanep et le GNRE, avec à sa tête la Coordinatrice nationale du Wanep-CI, Mylène Kamara-Soro, a promis de rendre compte aux différentes autorités concernées pour un environnement apaisé lors des prochaines joutes électorales.
Cette mission du Wanep et du GNRE a organisé concomitamment, une autre mission à Abengourou (région de l’Indenié-Djuablin) et à Bondoukou (région du Gontougo) les 18 et 19 mars 2021. Ces misions sont organisées afin de répondre à un double impératif, notamment celui de renforcer la cohésion sociale et promouvoir la paix.
Le Réseau Ouest-africain pour l’Édification de la Paix (WANEP) a été fondé en 1998 et la section ivoirienne en 2003, en réaction aux guerres civiles qui ont durement touché l’Afrique de l’Ouest dans les années 90. Au fil des ans, il est parvenu à établir de solides réseaux nationaux dans chaque État membre de la CEDEAO, en rassemblant plus de 500 organisations membres dans l’ensemble de l’Afrique de l’Ouest.
tls/kam
