Le régime de Laurent Gbagbo n’est pas loin de connaître un déclin au regard de la souffrance des Ivoiriens depuis plus d’une dizaine d’année sous son règne.
Il y a lieu de se demander si les partis de l’opposition ont besoin de battre campagne pour voir le régime de Laurent Gbagbo perdre le pouvoir. En dix ans de gestion des affaires de l’Etat dont 5 ans de façon illégale, le Fpi a fait plus de mal que de bien à la Côte d’Ivoire. Avec ce régime, les Ivoiriens ont essuyé les pires atrocités de leur histoire. Tuerie, viols, escadrons de la mort, déchets toxiques, détournements de deniers publics, enrichissement illicite, corruption, fausses promesses, guerre etc… sont autant de coups que les habitants de la Côte d’Ivoire ont encaissés et continuent d’encaisser, sous la refondation. Eux qui croyaient être au bout de leur peine, sont depuis quelques temps, sans électricité et sans eau. Oui ! La Côte d’Ivoire subit un délestage sans précédent. La distribution de l’électricité sur le territoire national se fait par rotation. Les foyers sont plongés dans le noir pendant plusieurs jours, quand d’autres sont dépourvus d’eau. Parce que l’absence d’électricité joue également sur la fourniture d’eau. Toutes choses qui sont considérées pour certains citoyens comme des exactions de trop du parti au pouvoir qui a montré ses carences en matière de gestion d’un Etat. Si on n’y prend garde, ces difficultés qui viennent en rajouter à la souffrance des Ivoiriens, pourraient être à l’origine du départ de Laurent Gbagbo du pouvoir. Parce qu’aucun Ivoirien n’est épargné par ce délestage. Pendant plus de dix au lieu que les choses évoluent positivement, c’est le contraire. La souffrance et la misère gagnent du terrain chaque jour. En plus de souffrir autant, si tous les ivoiriens doivent rester dans le noir et sans eau, il est évident que rien ne pourra empêcher le départ de Laurent Gbagbo et de ses affidés du pouvoir. Car il ne peuvent pas soutenir qu’ils ne sont pas touchés par les coupures d’eau et d’électricité même nantis et dotés de groupes électrogènes, ils finiront par exprimer leur ras-le-bol parce que la douleur sera difficile à contenir. Ce qui pourrait être la goûte d’eau qui fera déborder le vase. Et c’est à juste titre que cette population meurtrie depuis l’accession des refondateurs au pouvoir, pourrait exprimer son mécontentement contre ce régime.
Lance Touré
lancetoure2006@yahoo.fr
Il y a lieu de se demander si les partis de l’opposition ont besoin de battre campagne pour voir le régime de Laurent Gbagbo perdre le pouvoir. En dix ans de gestion des affaires de l’Etat dont 5 ans de façon illégale, le Fpi a fait plus de mal que de bien à la Côte d’Ivoire. Avec ce régime, les Ivoiriens ont essuyé les pires atrocités de leur histoire. Tuerie, viols, escadrons de la mort, déchets toxiques, détournements de deniers publics, enrichissement illicite, corruption, fausses promesses, guerre etc… sont autant de coups que les habitants de la Côte d’Ivoire ont encaissés et continuent d’encaisser, sous la refondation. Eux qui croyaient être au bout de leur peine, sont depuis quelques temps, sans électricité et sans eau. Oui ! La Côte d’Ivoire subit un délestage sans précédent. La distribution de l’électricité sur le territoire national se fait par rotation. Les foyers sont plongés dans le noir pendant plusieurs jours, quand d’autres sont dépourvus d’eau. Parce que l’absence d’électricité joue également sur la fourniture d’eau. Toutes choses qui sont considérées pour certains citoyens comme des exactions de trop du parti au pouvoir qui a montré ses carences en matière de gestion d’un Etat. Si on n’y prend garde, ces difficultés qui viennent en rajouter à la souffrance des Ivoiriens, pourraient être à l’origine du départ de Laurent Gbagbo du pouvoir. Parce qu’aucun Ivoirien n’est épargné par ce délestage. Pendant plus de dix au lieu que les choses évoluent positivement, c’est le contraire. La souffrance et la misère gagnent du terrain chaque jour. En plus de souffrir autant, si tous les ivoiriens doivent rester dans le noir et sans eau, il est évident que rien ne pourra empêcher le départ de Laurent Gbagbo et de ses affidés du pouvoir. Car il ne peuvent pas soutenir qu’ils ne sont pas touchés par les coupures d’eau et d’électricité même nantis et dotés de groupes électrogènes, ils finiront par exprimer leur ras-le-bol parce que la douleur sera difficile à contenir. Ce qui pourrait être la goûte d’eau qui fera déborder le vase. Et c’est à juste titre que cette population meurtrie depuis l’accession des refondateurs au pouvoir, pourrait exprimer son mécontentement contre ce régime.
Lance Touré
lancetoure2006@yahoo.fr
