La fête des Mères est une fête annuelle célébrée par les enfants en l'honneur de leur mère dans de nombreux pays. À cette occasion, les enfants offrent des cadeaux à leur mère, des gâteaux ou des objets qu'ils ont confectionnés à l'école. Cette fête est marquée également par les adultes de tous les âges pour honorer leur mère. La date de la fête des Mères varie d'un pays à l'autre, mais la majorité d'entre eux ont choisi de la célébrer en mai. Les premières traces de la célébration en l'honneur des mères sont présentes dans la Grèce antique, lors des cérémonies printanières en l'honneur de Rhéa (ou Cybèle), la Grande Mère des dieux et notamment de Zeus.
Ce culte était célébré aux Ides de Mars dans toute l'Asie mineure. Une fête religieuse romaine célébrait les matrones le 1er mars, lors des Matronalia. Au XVe siècle, les Anglais fêtaient le Mothering Sunday, d'abord au début du carême puis le quatrième dimanche du printemps. En 1908, les États-Unis développent la Fête des mères moderne telle qu'on la fête de nos jours, en instaurant le Mother's Day, en souvenir de la mère de l'institutrice Anna Jarvis. Le Royaume-Uni adopte à son tour cette fête en 1914, puis l'Allemagne l'officialise en 1923. D'autres pays suivent comme la Belgique, le Danemark, la Finlande, l'Italie, la Turquie ou l'Australie. Depuis, cette fête est célébrée comme toutes les autres sous nos tropiques. En Côte d’Ivoire, la fête des mères on peut le dire, a fini par se faire une place de choix dans le cœur des Ivoiriens, avec le concours des medias et des grandes maisons de publicité qui en font leurs choux gras. Chaque année à l’approche de cette fête dédiée à nos mamans, les magasins et autres grands centres d’affaire ne désemplissent guère en dépit de la situation économique difficile du pays. Ils prennent d’assaut ces surfaces à la recherche d’un cadeau à offrir à leurs génitrices le jour j. Normal car, une mère, diront-ils, c’est ce qu’il ya de plus beau dans la vie de toute personne. « Elle me coûte chère ma mère, chaque 30 mai, je me débrouille pour lui offrir un petit cadeau. Histoire de lui témoigner mon amour», explique Y. Germain, homme de media, rencontré dans un magasin au plateau. Lionnel N. étudiant à l’université de Cocody, ne rate quant à lui pas cette occasion pour se souvenir de sa mère arrachée à son affection il ya de cela cinq ans. « Ma mère n’ait plus. Mais chaque 30 mai, j’ai une pensée particulière pour elle. Et comme c’est une fête qui tombe les dimanches, j’en profite pour demander une messe en sa mémoire », nous dit- il.
Thomas Beugré avec Wikipédia
Ce culte était célébré aux Ides de Mars dans toute l'Asie mineure. Une fête religieuse romaine célébrait les matrones le 1er mars, lors des Matronalia. Au XVe siècle, les Anglais fêtaient le Mothering Sunday, d'abord au début du carême puis le quatrième dimanche du printemps. En 1908, les États-Unis développent la Fête des mères moderne telle qu'on la fête de nos jours, en instaurant le Mother's Day, en souvenir de la mère de l'institutrice Anna Jarvis. Le Royaume-Uni adopte à son tour cette fête en 1914, puis l'Allemagne l'officialise en 1923. D'autres pays suivent comme la Belgique, le Danemark, la Finlande, l'Italie, la Turquie ou l'Australie. Depuis, cette fête est célébrée comme toutes les autres sous nos tropiques. En Côte d’Ivoire, la fête des mères on peut le dire, a fini par se faire une place de choix dans le cœur des Ivoiriens, avec le concours des medias et des grandes maisons de publicité qui en font leurs choux gras. Chaque année à l’approche de cette fête dédiée à nos mamans, les magasins et autres grands centres d’affaire ne désemplissent guère en dépit de la situation économique difficile du pays. Ils prennent d’assaut ces surfaces à la recherche d’un cadeau à offrir à leurs génitrices le jour j. Normal car, une mère, diront-ils, c’est ce qu’il ya de plus beau dans la vie de toute personne. « Elle me coûte chère ma mère, chaque 30 mai, je me débrouille pour lui offrir un petit cadeau. Histoire de lui témoigner mon amour», explique Y. Germain, homme de media, rencontré dans un magasin au plateau. Lionnel N. étudiant à l’université de Cocody, ne rate quant à lui pas cette occasion pour se souvenir de sa mère arrachée à son affection il ya de cela cinq ans. « Ma mère n’ait plus. Mais chaque 30 mai, j’ai une pensée particulière pour elle. Et comme c’est une fête qui tombe les dimanches, j’en profite pour demander une messe en sa mémoire », nous dit- il.
Thomas Beugré avec Wikipédia