Le front social risque de se rallumer les prochaines semaines. En effet, les syndicats des Fonctionnaires ont décidé d’observer un arrêt de travail de trois jours, à partir de la première semaine du mois de juin.
C’est ce qui ressort de l’Assemblée générale extraordinaire conjointe des Centrales Syndicales (Ugtci, Dignité, Fesaci) et du Collectif des syndicats), tenue le 16 Mai dernier, à la Bourse du Travail, à Treichville. Ce, en présence de nombreux fonctionnaires. Par cet arrêt de travail de soixante douze heures, les centrales syndicales et le collectif veulent protester contre l’augmentation du taux de cotisation de la pension de retraite qui passe de 18 à 25 % dans le secteur public et 8 à 12% dans le secteur privé. Et selon Gnagna Zadi, porte-parole du collectif, ‘‘sans que le gouvernement n’ai débloqué au préalable, les salaires, encore moins le Smig, conformément aux Accords avec les centrales’’.
Expliquant que cette décision a été prise par le Gouvernement de façon ‘’unilatérale’’, remettant en cause les acquis des travailleurs. La mise sous tutelle de la Mugef-Ci et la cherté de la vie, constituent également, un point de discorde entre les centrales syndicales et le Gouvernement ivoirien. « Les démarches entreprises par les centrales syndicales en vue d’ouvrir le dialogue social sur toutes ces questions sont restées lettre mortes. Et il y a un manque d’engagement de l’Etat quant à la prise en compte de nos acquis », a déploré Gnagna Zadi. Cependant, la date exacte et les modalités de cette grève restent encore un mystère.
AC
C’est ce qui ressort de l’Assemblée générale extraordinaire conjointe des Centrales Syndicales (Ugtci, Dignité, Fesaci) et du Collectif des syndicats), tenue le 16 Mai dernier, à la Bourse du Travail, à Treichville. Ce, en présence de nombreux fonctionnaires. Par cet arrêt de travail de soixante douze heures, les centrales syndicales et le collectif veulent protester contre l’augmentation du taux de cotisation de la pension de retraite qui passe de 18 à 25 % dans le secteur public et 8 à 12% dans le secteur privé. Et selon Gnagna Zadi, porte-parole du collectif, ‘‘sans que le gouvernement n’ai débloqué au préalable, les salaires, encore moins le Smig, conformément aux Accords avec les centrales’’.
Expliquant que cette décision a été prise par le Gouvernement de façon ‘’unilatérale’’, remettant en cause les acquis des travailleurs. La mise sous tutelle de la Mugef-Ci et la cherté de la vie, constituent également, un point de discorde entre les centrales syndicales et le Gouvernement ivoirien. « Les démarches entreprises par les centrales syndicales en vue d’ouvrir le dialogue social sur toutes ces questions sont restées lettre mortes. Et il y a un manque d’engagement de l’Etat quant à la prise en compte de nos acquis », a déploré Gnagna Zadi. Cependant, la date exacte et les modalités de cette grève restent encore un mystère.
AC