Bonjour Mmes et MM les autorités de Côte d’Ivoire. Depuis environ trois mois, le pays que les Ivoiriens vous ont confié au prix de leur sang, leur âme et leur corps est sujet à des attaques répétées et mortelles. D’abord l’Ouest, ensuite les prisons, et maintenant la capitale économique et l’Est. Le mode opératoire et les motivations sont les mêmes, et vous le savez, puisque le ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko, dont je salue au passage la perspicacité des services, l’a dit lors de échanges avec la pressé suite à l’attaque meurtrière du camp d’Akouédo, il a quatre jours. Oui, les ennemis de la Côte d’Ivoire ont décidé de la remettre à genou en empêchant le régime Ouattara de travailler et donc d’exécuter son alléchant programme de gouvernement qui a séduit la majorité des Ivoiriens qui ont porté leur choix sur lui le 28 novembre 2010. Soutenus en cela (pas de question de faire la langue de bois) par Laurent Akoun et les autres affidés du FPI qui n’ont cure de la réconciliation et de la renaissance que prône, avec sincérité, le président de la République qui avait pourtant tous les moyens et toutes les occasions de les réduire au silence. Ils ont décidé d’en découdre avec le pouvoir, et ils le démontrent chaque jour par leurs différentes déclarations insidieuses qui préparent les esprits à s’accommoder de leurs actions subversives. Combien de temps allez-vous, chères autorités, laisser mourir gratuitement, de pauvres innocents dont le seul péché est de travailler à la reconstruction de cette Côte d’Ivoire que ces mêmes ennemis ont plongé dans le désastre à travers la scrabbleuse refondation ? A maintes reprises, nous avons attiré votre attention sur la roublardise et la volonté manifeste de ces gens à porter le glaive à la patrie et nous avons proposé de mener des opérations coup de poing à Abidjan et dans certaines localités du pays. C’est vrai, cela nécessité de gros moyens mais ne vaut-il pas mieux le faire pour décourager définitivement ces tueurs et déstabilisateurs, comme l’a si bien annoncé le Premier ministre, Ahoussou Jeannot, il y a quelque temps ? Excellence, Mmes et MM les ministres de la Défense et de l’Intérieur, les Ivoiriens commencent à s’interroger sur la capacité réelle de leur système de sécurité à les protéger. Parce que, finalement, ils ne savent plus si le territoire est véritablement surveillé ou pas. Vous avez décidé d’alléger les contrôles. La paix est encore fragile pour se laisser aller à certaines exigences de la démocratie. A quelle démocratie peut-on s’attendre si le pays est dans le chaos ?
Traquez-les jusqu’à leur dernier souffle !
Respectables autorités, l’heure est grave, et je voudrais, au nom des Ivoiriens qui ont déjà trop souffert, d’abandonner tous les sentiments afin de traiter, sans état d’âme, cette situation qui risque de nous emporter tous. Le ministre de l’Intérieur l’a dit, nous voulons voir cela se manifester sur le terrain. En un mot, il faut dorénavant traquer ces gens. Jusqu’à leur dernier retranchement ou souffle car ils n’ont cure du développement du pays, encore de la vie du peuple. Ils ne veulent pas de la paix et ça doit se comprendre ainsi. Il faut mener des opérations musclées contre eux et tous leurs complices ou supporters qui se pavanent dans les quartiers en train de murmurer vengeance, et qui leur fournissent renseignements, gîte et couverts. Yopougon est premier en la matière. Nous sommes tous dans leur viseur, ils ne vont épargner personne ! Agir maintenant ou périr, il n’y à point de choix !
MASS DOMI
Traquez-les jusqu’à leur dernier souffle !
Respectables autorités, l’heure est grave, et je voudrais, au nom des Ivoiriens qui ont déjà trop souffert, d’abandonner tous les sentiments afin de traiter, sans état d’âme, cette situation qui risque de nous emporter tous. Le ministre de l’Intérieur l’a dit, nous voulons voir cela se manifester sur le terrain. En un mot, il faut dorénavant traquer ces gens. Jusqu’à leur dernier retranchement ou souffle car ils n’ont cure du développement du pays, encore de la vie du peuple. Ils ne veulent pas de la paix et ça doit se comprendre ainsi. Il faut mener des opérations musclées contre eux et tous leurs complices ou supporters qui se pavanent dans les quartiers en train de murmurer vengeance, et qui leur fournissent renseignements, gîte et couverts. Yopougon est premier en la matière. Nous sommes tous dans leur viseur, ils ne vont épargner personne ! Agir maintenant ou périr, il n’y à point de choix !
MASS DOMI