Abidjan – Le secrétaire national à la gouvernance et au renforcement de capacité, Méité Sindou a fait, lundi, un plaidoyer pour un nouvel arbitrage du chef de l’Etat sur les textes consacrant la mise en place de la Haute autorité de lutte contre la corruption.
Selon M. Méité, les textes issus des séances du conseil des ministres du 22 mai portant mise en place du dispositif juridique et institutionnel ont été déjà transmis au Parlement.
« Le SNGRC souhaite que ce nouvel arbitrage du chef de l’Etat concourt à instaurer la nécessité de la mise en place d’une haute autorité véritablement forte chargée de lutter contre la corruption », a-t-il recommandé, ajoutant que cet arbitrage devrait permettre à la Haute autorité de disposer d’un package pour renforcer son autonomie et sa spécialisation.
Il a également demandé que ce nouvel arbitrage permettre d’institutionnaliser un couloir juridictionnel autonome, notamment un tribunal spécial pour rendre efficace la sanction.
Meité Sindou s’exprimait à l’ouverture d’un colloque sur la corruption organisé par l’inspection générale des finances, avec l’appui financier du Don de gouvernance et de développement institutionnel (DGDI), un projet de la Banque mondiale.
(Aip)
kkf/cmas
Selon M. Méité, les textes issus des séances du conseil des ministres du 22 mai portant mise en place du dispositif juridique et institutionnel ont été déjà transmis au Parlement.
« Le SNGRC souhaite que ce nouvel arbitrage du chef de l’Etat concourt à instaurer la nécessité de la mise en place d’une haute autorité véritablement forte chargée de lutter contre la corruption », a-t-il recommandé, ajoutant que cet arbitrage devrait permettre à la Haute autorité de disposer d’un package pour renforcer son autonomie et sa spécialisation.
Il a également demandé que ce nouvel arbitrage permettre d’institutionnaliser un couloir juridictionnel autonome, notamment un tribunal spécial pour rendre efficace la sanction.
Meité Sindou s’exprimait à l’ouverture d’un colloque sur la corruption organisé par l’inspection générale des finances, avec l’appui financier du Don de gouvernance et de développement institutionnel (DGDI), un projet de la Banque mondiale.
(Aip)
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