Aid el kebir ou la fête de la tabaski a été célébrée en Côte d’Ivoire par les fidèles musulmans à l’instar de ceux du monde entier.
Treichville commune cosmopolite avec sa cinquantaine de mosquée n’est pas demeurée en reste.
Les fidèles musulmans dans leurs plus beaux boubous se sont dirigés dans les différents lieux de prières pour implorer le Dieu tout puissant.
Le maire François Albert Amichia comme toutes les années a pris une part active dans cette célébration par sa présence à la grande mosquée de l’avenue 8 ou l’imam Cissé Mamadou a prôné la paix et la tolérance entre les hommes. Il a demandé au maire d’être toujours aux cotés des populations comme un chef de famille afin de consolider la fraternité légendaire dont jouit Treichville.
Pour le premier magistrat cette fête est celle du partage : "Nous devons revenir à ce qui a fait la particularité de notre pays ou le musulman partageait son mouton avec son frère chrétien pendant la tabaski et le chrétien à la Noël partageait son poulet avec son frère musulman ».
« Le partage suppose que nous devons regarder vers nos voisins démunis ainsi notre pays reconnaitra sa vraie fraternité », a-t-il conclu.
A la fin de la célébration le Maire François Albert Amichia a rendu visite à une dizaine de familles musulmanes pour leur souhaité une bonne fête du partage.
Treichville commune cosmopolite avec sa cinquantaine de mosquée n’est pas demeurée en reste.
Les fidèles musulmans dans leurs plus beaux boubous se sont dirigés dans les différents lieux de prières pour implorer le Dieu tout puissant.
Le maire François Albert Amichia comme toutes les années a pris une part active dans cette célébration par sa présence à la grande mosquée de l’avenue 8 ou l’imam Cissé Mamadou a prôné la paix et la tolérance entre les hommes. Il a demandé au maire d’être toujours aux cotés des populations comme un chef de famille afin de consolider la fraternité légendaire dont jouit Treichville.
Pour le premier magistrat cette fête est celle du partage : "Nous devons revenir à ce qui a fait la particularité de notre pays ou le musulman partageait son mouton avec son frère chrétien pendant la tabaski et le chrétien à la Noël partageait son poulet avec son frère musulman ».
« Le partage suppose que nous devons regarder vers nos voisins démunis ainsi notre pays reconnaitra sa vraie fraternité », a-t-il conclu.
A la fin de la célébration le Maire François Albert Amichia a rendu visite à une dizaine de familles musulmanes pour leur souhaité une bonne fête du partage.