Abidjan – Un programme d’aménagement des routes et de facilitation des transports au profit de la Côte d’Ivoire, la Guinée et le Libéria a été lancé, mardi, à Abidjan visant à soutenir la relance économique post-conflit de la région de l’union du fleuve Mano à travers l’amélioration de l’infrastructure routière et la promotion des échanges commerciaux intra-communautaires.
Le programme a un coût global de 165,40 milliards de francs CFA, financé par la banque africaine de développement (BAD) et les Etats concernés. Il va permettre la réalisation de 276,35 km de route, un pont de 200 mètres, deux postes de contrôle juxtaposés, 7,8 km de voies urbaines, 70 km de pistes connexes, deux gares routières, cinq marchés, cinq écoles réhabilitées, trois centres de santé, la construction d’un centre d’écoute et de réinsertion et trois forages.
Le programme va également permettre de fournir cinq kits de maraichage et cinq kits de transformation de produits agricoles à des groupements féminins.
Selon le directeur général adjoint de l’Agence de gestion des routes (AGEROUTE), M. Touré Abou, ce programme prend en charge le bitumage de l’axe Danané-frontière de Guinée (47,6 km), l’axe Bloléquin-Toulepleu-frontière du Libéria (65 km) et l’axe Tabou-frontière du Libéria (28 km) pour la Côte d’Ivoire. En Guinée, l’axe Lola-frontière ivoirienne (39,75 km) et au Libéria, l’axe Karloken-Fish Town (80 km) et la jonction Harper-Cavally (16 km).
"Cette étape de lancement ouvre une ère nouvelle dans l’accélération du processus d’intégration socio-économique et la libre circulation des biens et des personnes et des services dans notre sous-région", a indiqué la secrétaire générale de l’union du fleuve Mano, Dr. Saran Daran Kaba Hadja à l’occasion de l’atelier de lancement.
D’après le constat de la secrétaire générale, l’insuffisance des infrastructures routières constitue un handicap au transport et au développement du commerce dans la sous-région.
"Ce projet renforcera le niveau d’implication économique et la croissance économique de nos pays par l’élargissement du libre échange", a relevé le directeur de cabinet du ministre des infrastructures économiques, Gilbert Ekpini, procédant à l’ouverture de l’atelier.
Cet atelier de lancement qui se tient, jeudi et vendredi, permettra aux parties prenantes de passer en revue les questions clés liées à l’atteinte des objectifs financières du programme. Le ministre libérien des transports et le représentant du ministre guinéen des transports participent à cet atelier.
kkf/ask
Le programme a un coût global de 165,40 milliards de francs CFA, financé par la banque africaine de développement (BAD) et les Etats concernés. Il va permettre la réalisation de 276,35 km de route, un pont de 200 mètres, deux postes de contrôle juxtaposés, 7,8 km de voies urbaines, 70 km de pistes connexes, deux gares routières, cinq marchés, cinq écoles réhabilitées, trois centres de santé, la construction d’un centre d’écoute et de réinsertion et trois forages.
Le programme va également permettre de fournir cinq kits de maraichage et cinq kits de transformation de produits agricoles à des groupements féminins.
Selon le directeur général adjoint de l’Agence de gestion des routes (AGEROUTE), M. Touré Abou, ce programme prend en charge le bitumage de l’axe Danané-frontière de Guinée (47,6 km), l’axe Bloléquin-Toulepleu-frontière du Libéria (65 km) et l’axe Tabou-frontière du Libéria (28 km) pour la Côte d’Ivoire. En Guinée, l’axe Lola-frontière ivoirienne (39,75 km) et au Libéria, l’axe Karloken-Fish Town (80 km) et la jonction Harper-Cavally (16 km).
"Cette étape de lancement ouvre une ère nouvelle dans l’accélération du processus d’intégration socio-économique et la libre circulation des biens et des personnes et des services dans notre sous-région", a indiqué la secrétaire générale de l’union du fleuve Mano, Dr. Saran Daran Kaba Hadja à l’occasion de l’atelier de lancement.
D’après le constat de la secrétaire générale, l’insuffisance des infrastructures routières constitue un handicap au transport et au développement du commerce dans la sous-région.
"Ce projet renforcera le niveau d’implication économique et la croissance économique de nos pays par l’élargissement du libre échange", a relevé le directeur de cabinet du ministre des infrastructures économiques, Gilbert Ekpini, procédant à l’ouverture de l’atelier.
Cet atelier de lancement qui se tient, jeudi et vendredi, permettra aux parties prenantes de passer en revue les questions clés liées à l’atteinte des objectifs financières du programme. Le ministre libérien des transports et le représentant du ministre guinéen des transports participent à cet atelier.
kkf/ask