Les établissements scolaires publics ont été appelés à s’inscrire dans les directions régionale de l’Education Nationale (DREN) avant le 16 mars afin d’être sélectionnés pour abriter le projet « une école, une parcelle d’hévéa et de vivrier » initié par le Rotary club Abidjan Cocody-Sud, a annoncé le président Alhi Keita, lors d’un point de presse.
Ce projet initié sous l’égide du ministère de l’Education Nationale en partenariat avec l’Association des producteurs et manufacturiers de caoutchouc (APROMAC) et l’Agence nationale d’appui au développement rural ou (ANADER) vise, selon M. Kéita, à inculquer l’esprit entrepreneurial aux apprenants et aussi à donner aux établissements scolaires des ressources additionnelles dans leur gouvernance économique.
« C’est un projet national (…); je suis convaincu que nous pourrons aller chaque année avec une cinquantaine d’écoles sur toute l’étendue du territoire; aujourd’hui, nous commençons par l’hévéa et le vivrier, mais demain le projet peut concerner d’autres spéculations, mais le plus important c’est l’entrepreneuriat à l’école; cela va contribuer à faire baisser le chômage », a-t-il expliqué.
Les critères de sélection, sont entre autres la possession d’un terrain de deux hectares à proximité de l’école et dotée d’un point d’eau, l’école doit avoir une coopérative et un comité de gestion (COGES) actifs.
Le projet « Une école, une parcelle d’hévéa et de vivriers » a été lancé, le 15 février, à Tiassalé. Six écoles ont été sélectionnées pour cette phase pilote. Le coût de ce projet est d’environ cinq millions F CFA par école sélectionnée.
(AIP)
Ce projet initié sous l’égide du ministère de l’Education Nationale en partenariat avec l’Association des producteurs et manufacturiers de caoutchouc (APROMAC) et l’Agence nationale d’appui au développement rural ou (ANADER) vise, selon M. Kéita, à inculquer l’esprit entrepreneurial aux apprenants et aussi à donner aux établissements scolaires des ressources additionnelles dans leur gouvernance économique.
« C’est un projet national (…); je suis convaincu que nous pourrons aller chaque année avec une cinquantaine d’écoles sur toute l’étendue du territoire; aujourd’hui, nous commençons par l’hévéa et le vivrier, mais demain le projet peut concerner d’autres spéculations, mais le plus important c’est l’entrepreneuriat à l’école; cela va contribuer à faire baisser le chômage », a-t-il expliqué.
Les critères de sélection, sont entre autres la possession d’un terrain de deux hectares à proximité de l’école et dotée d’un point d’eau, l’école doit avoir une coopérative et un comité de gestion (COGES) actifs.
Le projet « Une école, une parcelle d’hévéa et de vivriers » a été lancé, le 15 février, à Tiassalé. Six écoles ont été sélectionnées pour cette phase pilote. Le coût de ce projet est d’environ cinq millions F CFA par école sélectionnée.
(AIP)