Les acteurs de la filière anacarde, producteurs, acheteurs, transformateurs et exportateurs de noix de cajou brute se sont retrouvés le samedi 12 mars 2016 au Golf hôtel pour identifier les problèmes ils sont confrontés depuis l’ouverture de la campagne agricole 2016, le 15 février dernier. A l’initiative de l’Association des exportateurs de cajou de Côte d’Ivoire (AEC-CI).
Les acteurs de la filière anacarde qui ont salué les efforts déployés par le gouvernement et les structures d’appui, entre autres le Conseil du coton et de l’anacarde et l’ANADER, ont relevé quelques dysfonctionnements dont la correction permettrait de lever toutes les entraves à l’exercice de leurs activités. Il s’agit entre de l’absence d’une organisation au sein de la filière, la porosité des frontières marquée par la fuite de l’anacarde ivoirien vers certains pays limitrophes (Ghana, Burkina Faso) et l’intrusion des exportateurs dans les opérations d’achat bord- champ, entraînant du coup une augmentation irrationnelle des prix officiels pratiqués bord-champ.
Lors du lancement de la campagne, le gouvernement avait fixé le prix d’achat bord-champ de l’anacarde à 350 FCFA. Mais le constat qui est fait, c’est que l’anacarde est acheté à 400 FCFA voire 500 FCFA. C’est pourquoi, les acteurs de la filière ont fait des propositions. Ils appellent de tous leurs vœux la mise en place d’une interprofession au sein de la filière anacarde, conformément à la réforme conduite par le ministre de l’Agriculture et du Développement rural. En outre, les producteurs, acheteurs, transformateurs et exportateurs de noix de cajou brute recommandent entre autres, la fermeture des frontières terrestres à toute exportation de noix de cajou, le renforcement du système de traçabilité et de suivi des stocks, le respect des dispositions de la commercialisation interne, l’instauration d’un prix-plafond évolutif en fonction du marché et l’appui des autorités ivoiriennes afin de sauvegarder les activités de l’ensemble des opérateurs de la filière anacarde.
O.D
Les acteurs de la filière anacarde qui ont salué les efforts déployés par le gouvernement et les structures d’appui, entre autres le Conseil du coton et de l’anacarde et l’ANADER, ont relevé quelques dysfonctionnements dont la correction permettrait de lever toutes les entraves à l’exercice de leurs activités. Il s’agit entre de l’absence d’une organisation au sein de la filière, la porosité des frontières marquée par la fuite de l’anacarde ivoirien vers certains pays limitrophes (Ghana, Burkina Faso) et l’intrusion des exportateurs dans les opérations d’achat bord- champ, entraînant du coup une augmentation irrationnelle des prix officiels pratiqués bord-champ.
Lors du lancement de la campagne, le gouvernement avait fixé le prix d’achat bord-champ de l’anacarde à 350 FCFA. Mais le constat qui est fait, c’est que l’anacarde est acheté à 400 FCFA voire 500 FCFA. C’est pourquoi, les acteurs de la filière ont fait des propositions. Ils appellent de tous leurs vœux la mise en place d’une interprofession au sein de la filière anacarde, conformément à la réforme conduite par le ministre de l’Agriculture et du Développement rural. En outre, les producteurs, acheteurs, transformateurs et exportateurs de noix de cajou brute recommandent entre autres, la fermeture des frontières terrestres à toute exportation de noix de cajou, le renforcement du système de traçabilité et de suivi des stocks, le respect des dispositions de la commercialisation interne, l’instauration d’un prix-plafond évolutif en fonction du marché et l’appui des autorités ivoiriennes afin de sauvegarder les activités de l’ensemble des opérateurs de la filière anacarde.
O.D