Ouangolodougou, La campagne de commercialisation de la noix de cajou a été lancée officiellement à Ouangolodougou par le préfet du département, Sihindou Coulibaly, en présence des chefs traditionnels et des acteurs de la filière.
« L’an dernier, on a fait des saisies, cette année, si je fais des saisies, je vais déférer les gens. Les engins qui ont servi à la fraude seront vendus aux enchères », a mis en garde Sihindou Coulibaly à l’occasion, mardi, de l’ouverture de cette campagne.
Pour le préfet, il est impératif que l’entièreté de la production de noix de cajou soit vendue en Côte d’Ivoire pour éviter la fuite des devises vers les pays voisins, ce qui, a-t-il indiqué, pourrait impacter l’économie ivoirienne. « Chacun d’entre vous doit donc comprendre la nécessité de vendre son produit ici en Côte d’Ivoire », a-t-il souligné.
Le directeur régional du conseil du coton et de l’anacarde de la région du Poro, Koné Issouf, a instruit les paysans et les acheteurs sur les perspectives de cette nouvelle campagne tout en les exhortant à produire de la noix de qualité et à se conformer aux règles en vigueur pour cette campagne.
« Cette année, le prix du kilogramme d’anacarde est fixé à 350 francs pour le paysan, c’est un prix planché en dessous duquel vous ne devez pas vendre votre produit. Cette année, ce sera la rigueur et le conseil coton anacarde a pris une circulaire claire sur les amendes aussi bien pour le paysan que pour l’acheteur » a souligné Koné Issouf.
(AIP)
ck/gak/ask
« L’an dernier, on a fait des saisies, cette année, si je fais des saisies, je vais déférer les gens. Les engins qui ont servi à la fraude seront vendus aux enchères », a mis en garde Sihindou Coulibaly à l’occasion, mardi, de l’ouverture de cette campagne.
Pour le préfet, il est impératif que l’entièreté de la production de noix de cajou soit vendue en Côte d’Ivoire pour éviter la fuite des devises vers les pays voisins, ce qui, a-t-il indiqué, pourrait impacter l’économie ivoirienne. « Chacun d’entre vous doit donc comprendre la nécessité de vendre son produit ici en Côte d’Ivoire », a-t-il souligné.
Le directeur régional du conseil du coton et de l’anacarde de la région du Poro, Koné Issouf, a instruit les paysans et les acheteurs sur les perspectives de cette nouvelle campagne tout en les exhortant à produire de la noix de qualité et à se conformer aux règles en vigueur pour cette campagne.
« Cette année, le prix du kilogramme d’anacarde est fixé à 350 francs pour le paysan, c’est un prix planché en dessous duquel vous ne devez pas vendre votre produit. Cette année, ce sera la rigueur et le conseil coton anacarde a pris une circulaire claire sur les amendes aussi bien pour le paysan que pour l’acheteur » a souligné Koné Issouf.
(AIP)
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