L’actualité socio-économique de notre pays est marquée ces derniers temps, dans une certaine presse, par l’affaire supposée de détournements de plus de « 1 ou 5 Milliards de francs CFA» par la direction générale du Conseil du Coton et de l’Anacarde, par lesdits journaux, selon un audit commandité par la haute autorité de la Bonne gouvernance dirigé par Monsieur SEYDOU ELIMANE DIARRA. Cet audit a été commandité suite à une plainte de l’Association des Exportateurs de Côte d’Ivoire et non les producteurs d’anacarde de Côte d’Ivoire, épine dorsale de cette filière.
Cette cabale de presse bien orchestrée par des mains obscures vient seulement 3 Jours après la conférence de presse du Directeur Général du conseil du Coton et de l’Anacarde, à l’auditorium de la Caistab lors du bilan à mi-parcours, où nous étions présents, et qui avait accusé « un cartel » constitué d’acheteurs et d’exportateurs de noix de cajou d’utiliser des moyens peu recommandables pour faire baisser les prix bord champ. C’est prix bord champ qui sont effectivement en baisse aujourd’hui entre 400 et 500 F CFA contre 600 et 650 F CFA , il y a encore 3 semaines. Pendant que dans les pays voisins de la sous-région les prix sont plus élevés : Burkina 750 F CFA, Benin 800 FCFA et au GHANA 800 F CFA, Mali 750 F CFA.
Chose contraire à la volonté de Son Excellence Monsieur le Président Alassane OUATTARA, de permettre aux producteurs des prix plus rémunérateurs dont 60% du prix CAF.
La Coordination Nationale des Producteurs d’Anacarde de Côte d’Ivoire (CONAPRACI) issue des 19 régions de productions,
Voudrait faire remarquer que la cabale médiatique bien orchestré par des mains obscure en relation avec l’association des exportateurs de Côte d’Ivoire, tente à distraire l’ensemble des producteurs et le gouvernement des agissements du « cartel de l’anacarde » sur la baisse des prix dénoncé par le Directeur Général du Conseil du Coton et de l’Anacarde. Témoignant ainsi de la ferme volonté du cartel de faire main basse sur la filière et appauvrir les producteurs, les acquis de la réforme ne fait plus leur affaire. D’ailleurs, la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance a déclaré par voie de presse qu’elle n’a jamais parlée de détournement.
La CONAPRACI soucieuse d’une bonne mise œuvre de la réforme et d’un développement durable de la filière anacarde qui passe nécessairement par une stabilité durable au sein de l’organe de gestion et de régulation, Le Conseil du Coton et de l’Anacarde.
La CONAPRACI tient à exprimer son inquiétude sur la nature de cette affaire de « détournement supposé » qui ne concerne que les intérêts des exportateurs, non celle des producteurs pour qui la réforme voulue par le Chef de l’Etat est mise en œuvre avec succès.
La CONAPRACI appelle l’ensemble des acteurs de la filière à appréhender cette question avec de la retenue et à ne s’en tenir qu’aux décisions et mesures du Directeur Général du Conseil du Coton et de l’Anacarde M.SANOGO MALAMINE, maître d’œuvre de l’exécution de la réforme qui, dans des circonstances similaires passées, a su trouvé les solutions et ressources nécessaires.
La CONAPRACI invite l’ensemble des acteurs en général et les producteurs en particulier à faire confiance au Directeur Général monsieur SANOGO MALAMINE et à laisser le Conseil du Coton et de l’Anacarde à continuer sa mission. Par ailleurs, invite le Directeur Général à prendre les mesures et dispositions nécessaires pour mettre fins à l’existence dudit cartel pour l’intérêt de la filière et des producteurs ivoiriens.
La CONAPRACI réaffirme son soutien sans faille au Directeur Général monsieur SANOGO MALAMINE dans la mise en œuvre de la réforme de la filière anacarde et l’assure de sa détermination à l’accompagner dans la réussite de cette importante mission. Beaucoup d’acquis ont été obtenus en si peu de temps (2 ans seulement) et beaucoup restent aussi à faire, mais dans la sérénité et le calme.
La CONAPRACI réitère son indéfectible soutien et son engagement sans faille à S.E. Monsieur le Président de la République, Alassane OUATTARA et à son gouvernement pour sa vision éclairé dans son programme de gouvernement en ce qui concerne la filière anacarde.
La CONAPRACI réaffirme son entière disponibilité au Président de la République pour son action gouvernementale et s’engage à lui apporter tout le soutien nécessaire jusqu’en 2020.
Fait à KORHOGO, le 26 MAI 2016.
Pour le Bureau Exécutif National.
Le PORTE-PAROLE
NALOUROU KONE
Cette cabale de presse bien orchestrée par des mains obscures vient seulement 3 Jours après la conférence de presse du Directeur Général du conseil du Coton et de l’Anacarde, à l’auditorium de la Caistab lors du bilan à mi-parcours, où nous étions présents, et qui avait accusé « un cartel » constitué d’acheteurs et d’exportateurs de noix de cajou d’utiliser des moyens peu recommandables pour faire baisser les prix bord champ. C’est prix bord champ qui sont effectivement en baisse aujourd’hui entre 400 et 500 F CFA contre 600 et 650 F CFA , il y a encore 3 semaines. Pendant que dans les pays voisins de la sous-région les prix sont plus élevés : Burkina 750 F CFA, Benin 800 FCFA et au GHANA 800 F CFA, Mali 750 F CFA.
Chose contraire à la volonté de Son Excellence Monsieur le Président Alassane OUATTARA, de permettre aux producteurs des prix plus rémunérateurs dont 60% du prix CAF.
La Coordination Nationale des Producteurs d’Anacarde de Côte d’Ivoire (CONAPRACI) issue des 19 régions de productions,
Voudrait faire remarquer que la cabale médiatique bien orchestré par des mains obscure en relation avec l’association des exportateurs de Côte d’Ivoire, tente à distraire l’ensemble des producteurs et le gouvernement des agissements du « cartel de l’anacarde » sur la baisse des prix dénoncé par le Directeur Général du Conseil du Coton et de l’Anacarde. Témoignant ainsi de la ferme volonté du cartel de faire main basse sur la filière et appauvrir les producteurs, les acquis de la réforme ne fait plus leur affaire. D’ailleurs, la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance a déclaré par voie de presse qu’elle n’a jamais parlée de détournement.
La CONAPRACI soucieuse d’une bonne mise œuvre de la réforme et d’un développement durable de la filière anacarde qui passe nécessairement par une stabilité durable au sein de l’organe de gestion et de régulation, Le Conseil du Coton et de l’Anacarde.
La CONAPRACI tient à exprimer son inquiétude sur la nature de cette affaire de « détournement supposé » qui ne concerne que les intérêts des exportateurs, non celle des producteurs pour qui la réforme voulue par le Chef de l’Etat est mise en œuvre avec succès.
La CONAPRACI appelle l’ensemble des acteurs de la filière à appréhender cette question avec de la retenue et à ne s’en tenir qu’aux décisions et mesures du Directeur Général du Conseil du Coton et de l’Anacarde M.SANOGO MALAMINE, maître d’œuvre de l’exécution de la réforme qui, dans des circonstances similaires passées, a su trouvé les solutions et ressources nécessaires.
La CONAPRACI invite l’ensemble des acteurs en général et les producteurs en particulier à faire confiance au Directeur Général monsieur SANOGO MALAMINE et à laisser le Conseil du Coton et de l’Anacarde à continuer sa mission. Par ailleurs, invite le Directeur Général à prendre les mesures et dispositions nécessaires pour mettre fins à l’existence dudit cartel pour l’intérêt de la filière et des producteurs ivoiriens.
La CONAPRACI réaffirme son soutien sans faille au Directeur Général monsieur SANOGO MALAMINE dans la mise en œuvre de la réforme de la filière anacarde et l’assure de sa détermination à l’accompagner dans la réussite de cette importante mission. Beaucoup d’acquis ont été obtenus en si peu de temps (2 ans seulement) et beaucoup restent aussi à faire, mais dans la sérénité et le calme.
La CONAPRACI réitère son indéfectible soutien et son engagement sans faille à S.E. Monsieur le Président de la République, Alassane OUATTARA et à son gouvernement pour sa vision éclairé dans son programme de gouvernement en ce qui concerne la filière anacarde.
La CONAPRACI réaffirme son entière disponibilité au Président de la République pour son action gouvernementale et s’engage à lui apporter tout le soutien nécessaire jusqu’en 2020.
Fait à KORHOGO, le 26 MAI 2016.
Pour le Bureau Exécutif National.
Le PORTE-PAROLE
NALOUROU KONE