Un Atelier de démarrage du programme Filières Agricoles Durables de Côte d’Ivoire (FADCI) s’est ouvert ce mercredi à Abidjan.
Selon les organisateurs, cet Atelier vise à officialiser la mise en vigueur du Programme et de mettre en exergue l’engagement des parties prenantes que sont l’AFD, le Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural, le Ministère de Ressources Animales et Halieutiques, le Ministère des Eaux et Forêts, le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable, le Ministère auprès du Premier Ministre, Ministère de l’Economie et des Finances, le Ministère auprès du Premier Ministre, Ministère du Budget et du Portefeuille de l’Etat, le Conseil Café- Cacao et CEMOI dans la mise en œuvre du programme FADCI.
Il s’agira plus spécifiquement de Faciliter la participation et l’appropriation du Programme par les partenaires opérationnels, à travers des échanges constructifs sur le contenu du Programme (objectifs, résultats attendus, modalité d’exécution, stratégie de mise en œuvre, plan de passation des marchés, modalités de gestion fiduciaire, cadre de résultats, etc) pour une meilleure mise en œuvre. Mieux expliquer les interactions techniques et opérationnelles entre le Programme, les agences d’exécution et les ministères techniques impliqués dans la mise en œuvre.
d’un montant de 77 M€ soit 50,5 Md FCFA, le programme FADCI vise à mettre en œuvre une partie de l’enveloppe de 122 M€ allouée aux secteurs de l’agriculture, développement rural et biodiversité dans le cadre du 2ème Contrat de Développement et de Désendettement (C2D) signé en décembre 2014. Il s’inscrit dans la suite des programmes du premier C2D dédiés à l’agriculture et à la biodiversité tout en accompagnant le passage de la sortie de crise à la mise en place de stratégies sectorielles durables en ligne avec les engagements du pays pour un « développement agricole sans extension sur les surfaces forestières ».
La finalité du programme FADCI est d’initier et d’accompagner des changements de pratiques agricoles et de gestion des ressources qui auront des impacts positifs sur la population ivoirienne en termes de conditions de vie, de cohésion sociale et de santé humaine.
Elisée B.
Selon les organisateurs, cet Atelier vise à officialiser la mise en vigueur du Programme et de mettre en exergue l’engagement des parties prenantes que sont l’AFD, le Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural, le Ministère de Ressources Animales et Halieutiques, le Ministère des Eaux et Forêts, le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable, le Ministère auprès du Premier Ministre, Ministère de l’Economie et des Finances, le Ministère auprès du Premier Ministre, Ministère du Budget et du Portefeuille de l’Etat, le Conseil Café- Cacao et CEMOI dans la mise en œuvre du programme FADCI.
Il s’agira plus spécifiquement de Faciliter la participation et l’appropriation du Programme par les partenaires opérationnels, à travers des échanges constructifs sur le contenu du Programme (objectifs, résultats attendus, modalité d’exécution, stratégie de mise en œuvre, plan de passation des marchés, modalités de gestion fiduciaire, cadre de résultats, etc) pour une meilleure mise en œuvre. Mieux expliquer les interactions techniques et opérationnelles entre le Programme, les agences d’exécution et les ministères techniques impliqués dans la mise en œuvre.
d’un montant de 77 M€ soit 50,5 Md FCFA, le programme FADCI vise à mettre en œuvre une partie de l’enveloppe de 122 M€ allouée aux secteurs de l’agriculture, développement rural et biodiversité dans le cadre du 2ème Contrat de Développement et de Désendettement (C2D) signé en décembre 2014. Il s’inscrit dans la suite des programmes du premier C2D dédiés à l’agriculture et à la biodiversité tout en accompagnant le passage de la sortie de crise à la mise en place de stratégies sectorielles durables en ligne avec les engagements du pays pour un « développement agricole sans extension sur les surfaces forestières ».
La finalité du programme FADCI est d’initier et d’accompagner des changements de pratiques agricoles et de gestion des ressources qui auront des impacts positifs sur la population ivoirienne en termes de conditions de vie, de cohésion sociale et de santé humaine.
Elisée B.