Plus de 600 hectares de riz sont sous les eaux dans la région de Guiglo (509 km à l’ouest), a confié à APA, mercredi, Moussa Bamba, Président du Conseil d’administration (PCA) de la coopérative Coderiz Guiglo, estimant à près de 750.000.000 FCFA, les pertes financières.
Les zones sérieusement inondées selon M. Bamba sont Béablo, Blocgnéo, Sidibédougou, Bloc Kati identifiés autour du fleuve N’zo. ‘’Au total ce sont 3370 tonnes de riz qui sont ainsi immergées. Les pertes sont estimées à environ 750 millions FCFA’’ selon ses explications. La coopérative dont il est à la tête assiste impuissante à l’inondation de plus de 300 hectares de sa surface cultivable sur l’ensemble des terres inondées.
‘’Face à la catastrophe, le Directeur de l’agriculture de Guiglo informé est venu constater les dégâts mais jusque-là nous n’avons aucune suite’’, s’est lamenté Moussa Bamba. ‘’Nous demandons de l’aide pour que les producteurs aient des semences en vue de la prochaine saison ‘’, a-t-il émis pour éviter une pénurie de riz.
Aussi, a sollicité M. Bamba, des sites libres bien aménagés pour que ces personnes soient délocalisées. Guiglo est une zone à forte pluviométrie. Au mois d’aout 2007, les producteurs de riz de cette région ont perdu 200 hectares. La FAO avait secouru les riziculteurs en leur offrant des semences et des intrants.
En 2016, soient 9 ans après le même scénario s’est reproduit avec cette fois, 674 hectares inondés. Les pluies dans la région surviennent au mois de mars, ’’mais cette année, la pluie est tombée au mois de mai et jusqu’à présent, il pleut’’ relève Moussa Bamba avec pour conséquence immédiate, ’’25% de la production rizicole en épiaison et 15 % en maturité sous les eaux et irrécupérables’’, a conclu M. Bamba.
MC/hs/ls/APA
Les zones sérieusement inondées selon M. Bamba sont Béablo, Blocgnéo, Sidibédougou, Bloc Kati identifiés autour du fleuve N’zo. ‘’Au total ce sont 3370 tonnes de riz qui sont ainsi immergées. Les pertes sont estimées à environ 750 millions FCFA’’ selon ses explications. La coopérative dont il est à la tête assiste impuissante à l’inondation de plus de 300 hectares de sa surface cultivable sur l’ensemble des terres inondées.
‘’Face à la catastrophe, le Directeur de l’agriculture de Guiglo informé est venu constater les dégâts mais jusque-là nous n’avons aucune suite’’, s’est lamenté Moussa Bamba. ‘’Nous demandons de l’aide pour que les producteurs aient des semences en vue de la prochaine saison ‘’, a-t-il émis pour éviter une pénurie de riz.
Aussi, a sollicité M. Bamba, des sites libres bien aménagés pour que ces personnes soient délocalisées. Guiglo est une zone à forte pluviométrie. Au mois d’aout 2007, les producteurs de riz de cette région ont perdu 200 hectares. La FAO avait secouru les riziculteurs en leur offrant des semences et des intrants.
En 2016, soient 9 ans après le même scénario s’est reproduit avec cette fois, 674 hectares inondés. Les pluies dans la région surviennent au mois de mars, ’’mais cette année, la pluie est tombée au mois de mai et jusqu’à présent, il pleut’’ relève Moussa Bamba avec pour conséquence immédiate, ’’25% de la production rizicole en épiaison et 15 % en maturité sous les eaux et irrécupérables’’, a conclu M. Bamba.
MC/hs/ls/APA