La compassion et l’amour envers les autres. Ce sont les vertus que l’Église catholique dirigée par le Pape François, en général et les catholiques de Côte d’Ivoire en particulier, demandent aux musulmans du pays de cultiver pour une société harmonieuse de paix mais surtout le renforcement des liens spirituels qui unissent les deux confessions religieuses. C’est Mgr Marie-Daniel Dadiet, président de la Commission épiscopale pour le dialogue interreligieux, archevêque métropolitain de Korhogo, qui a formé ces vœux dans un message, le vendredi 9 septembre dernier, dans le cadre de la Fête de la Tabaski.
«Chrétiens et musulmans, nous sommes appelés à faire de notre mieux pour imiter Dieu. Lui, le Miséricordieux, nous demande d'être miséricordieux et compatissants envers les autres, en particulier ceux qui se trouvent confrontés à toute sorte de difficultés. Il nous appelle, en outre, à nous pardonner les uns les autres», a lancé Mgr Marie Daniel Dadiet. «Il est vrai que les situations sont souvent très complexes et que leurs solutions dépassent nos capacités. Il devient vital, par conséquent, que tous œuvrent ensemble pour venir au secours de ceux qui sont dans le besoin», a-t-il ajouté. «Nous manifestons, de la sorte, la Miséricorde de Dieu et nous offrons, en tant qu'individus et en tant que communautés, un témoignage plus crédible de nos convictions», s’est réjoui le président de la Commission épiscopale pour le dialogue interreligieux, tout en souhaitant une très bonne Fête de laTabaski aux musulmans de Côte d’Ivoire.
G.E.
«Chrétiens et musulmans, nous sommes appelés à faire de notre mieux pour imiter Dieu. Lui, le Miséricordieux, nous demande d'être miséricordieux et compatissants envers les autres, en particulier ceux qui se trouvent confrontés à toute sorte de difficultés. Il nous appelle, en outre, à nous pardonner les uns les autres», a lancé Mgr Marie Daniel Dadiet. «Il est vrai que les situations sont souvent très complexes et que leurs solutions dépassent nos capacités. Il devient vital, par conséquent, que tous œuvrent ensemble pour venir au secours de ceux qui sont dans le besoin», a-t-il ajouté. «Nous manifestons, de la sorte, la Miséricorde de Dieu et nous offrons, en tant qu'individus et en tant que communautés, un témoignage plus crédible de nos convictions», s’est réjoui le président de la Commission épiscopale pour le dialogue interreligieux, tout en souhaitant une très bonne Fête de laTabaski aux musulmans de Côte d’Ivoire.
G.E.