Les producteurs d’anacarde de Côte d’Ivoire réunis autour de la fédération nationale des producteurs d’anacarde de Côte d’Ivoire (FENAPACI) ont décidé de conduire Bamba Adama à l’élection prochaine du président du conseil d’administration de la future interprofession de l’anacarde. C’était le 19 septembre 2016 au centre d’actions culturelles de la ville de Korhogo au Nord de la Côte d’Ivoire, en présence de tous les membres du conseil d’administration de la FENAPACI et des délégués des 19 régions des unions de sociétés coopératives d’anacarde des zones productrices de la Côte d’Ivoire. Nous avons décidé ensemble que mon 1er vice président Bamba Adama soit proposé l’inter profession de l’anacarde a déclaré Koné wayariga président du conseil d’administration de la FENAPACI.
Vu l’exigence des bailleurs de fonds qui demandent à l’état de Côte d’Ivoire que toutes les interprofessions agricoles soient mises en place avant fin 2017 nous avons décidé de tourner la page au désordre qui gangrène le secteur et d’aller dans le formel…a souligné Bamba Adama le candidat promu, lui-même producteur et exportateur d’anacarde, responsable d’une structure d’import-export et de la société coopérative de l’union des coopératives bafimé Côte d’Ivoire (UCABCI ). « Il a les compétences et les atouts nécessaires pour défendre notre cause et surtout améliorer nos conditions de vie car il est lui même producteur, exportateur… donc il connait mieux que quiconque les difficultés liées à nos activités » ont indiqué Bakayoko Karim et Soro Fougnigué tous deux grands producteurs d’anacarde individuelles. Son abnégation et son courage pour organiser les producteurs d’anacarde depuis une dizaine d’années ne nous surprend guère, la création de la FENAPACI est à son actif et nous pensons à l’interprofession, il peut mieux nous aider ont soutenu des délégués régionaux de société des unions de coopératives d’anacardes.
Bamaba Adama en a profité au cours de cette rencontre pour lancer un appel a ses pairs « Nous invitons tous les producteurs d’anacardes à se joindre à la fédération car si nous sommes organisés l’état pourra nous aider et nous appuyer à améliorer nos conditions de productions, de vies afin de sortir de la précarité... ».Il a conclu par des mots de gratitude et de reconnaissance au ministre d’état, secrétaire général de la présidence de la république Amadou Gon Coulibaly « merci de vote soutien inlassable ». Rappelons que la fédération nationale des producteurs d’anacarde de Côte d’Ivoire a vu le jour début juin 2016. La cérémonie était placée sous le patronage du ministre d’état, secrétaire général de la présidence de la république Amadou Gon Coulibaly avec la bénédiction du cantonna de korhogo. Le secrétaire général 2 de la préfecture de Korhogo Binaté Lassina représentant le préfet de la région du poro avait exhorté los de cette assemblée générale constitutive les acteurs de la filière anacarde à s’approprier véritablement la notion d’autonomisation et de rentabilité via la mise en place dudit réseau qui permettre de se prendre en chargé ainsi que leurs familles et vivre de leur labeur. La filière anacarde en Côte d’Ivoire compte près de 250.000 producteurs .Elle fait vivre près de deux millions de personnes avec un taux moyen annuel de croissance de 10% et une prévision de plus d’un million de tonnes à l’horizon 2020. La Côte d’Ivoire fournit plus de 25% de l’offre mondiale et se classe premier pays producteur mondial avec une production de plus 700 000 tonnes de noix de cajou en 2015.
BT
Vu l’exigence des bailleurs de fonds qui demandent à l’état de Côte d’Ivoire que toutes les interprofessions agricoles soient mises en place avant fin 2017 nous avons décidé de tourner la page au désordre qui gangrène le secteur et d’aller dans le formel…a souligné Bamba Adama le candidat promu, lui-même producteur et exportateur d’anacarde, responsable d’une structure d’import-export et de la société coopérative de l’union des coopératives bafimé Côte d’Ivoire (UCABCI ). « Il a les compétences et les atouts nécessaires pour défendre notre cause et surtout améliorer nos conditions de vie car il est lui même producteur, exportateur… donc il connait mieux que quiconque les difficultés liées à nos activités » ont indiqué Bakayoko Karim et Soro Fougnigué tous deux grands producteurs d’anacarde individuelles. Son abnégation et son courage pour organiser les producteurs d’anacarde depuis une dizaine d’années ne nous surprend guère, la création de la FENAPACI est à son actif et nous pensons à l’interprofession, il peut mieux nous aider ont soutenu des délégués régionaux de société des unions de coopératives d’anacardes.
Bamaba Adama en a profité au cours de cette rencontre pour lancer un appel a ses pairs « Nous invitons tous les producteurs d’anacardes à se joindre à la fédération car si nous sommes organisés l’état pourra nous aider et nous appuyer à améliorer nos conditions de productions, de vies afin de sortir de la précarité... ».Il a conclu par des mots de gratitude et de reconnaissance au ministre d’état, secrétaire général de la présidence de la république Amadou Gon Coulibaly « merci de vote soutien inlassable ». Rappelons que la fédération nationale des producteurs d’anacarde de Côte d’Ivoire a vu le jour début juin 2016. La cérémonie était placée sous le patronage du ministre d’état, secrétaire général de la présidence de la république Amadou Gon Coulibaly avec la bénédiction du cantonna de korhogo. Le secrétaire général 2 de la préfecture de Korhogo Binaté Lassina représentant le préfet de la région du poro avait exhorté los de cette assemblée générale constitutive les acteurs de la filière anacarde à s’approprier véritablement la notion d’autonomisation et de rentabilité via la mise en place dudit réseau qui permettre de se prendre en chargé ainsi que leurs familles et vivre de leur labeur. La filière anacarde en Côte d’Ivoire compte près de 250.000 producteurs .Elle fait vivre près de deux millions de personnes avec un taux moyen annuel de croissance de 10% et une prévision de plus d’un million de tonnes à l’horizon 2020. La Côte d’Ivoire fournit plus de 25% de l’offre mondiale et se classe premier pays producteur mondial avec une production de plus 700 000 tonnes de noix de cajou en 2015.
BT
