Sous le thème «Transfert de technologies aux planteurs pour une hévéaculture durable», un séminaire à l’attention des planteurs, des chercheurs, des agents au développement, des sociétés agricoles et des professionnels du secteur s’est ouvert ce mercredi à Yamoussoukro.
Organisé par l’International Rubber Reaserch and Development Board (IRRDB) en collaboration avec l’Association des Professionnels du Caoutchouc Naturel de Côte d’Ivoire (APROMAC), l’atelier, selon Fulgence Koffy, président de l’APROMAC va permettre de présenter les résultats de la recherche sur l’hévéa et les mécanismes de transfert des innovations aux planteurs.
Il a aussi transmis la volonté du Gouvernement d’augmenter la production annuelle d’hévéa de la Côte d’Ivoire, premier producteur africain et septième mondial de caoutchouc naturel avec 350.000 tonnes, pour atteindre 600.000t d’ici 2025.
« La Côte d’Ivoire a pour objectif d’améliorer sa production annuelle de caoutchouc naturel sec avant la fin des dix prochaines années » a-t-il soutenu, invitant par ailleurs les acteurs à faire « un transfert de technologie aux planteurs. »
Près de 150.000 planteurs qui détiennent des exploitations individuelles dans les zones hévéïcoles, aux 18 unités de transformation et au Fonds de développement de l’hévéa seront ainsi suivis afin de réaliser cette performance.
Quant à M. Bredoumy Soumaïla, représentant le Ministre de l’agriculture et du développement durable, il a salué le courage, la détermination et l’importante contribution des acteurs de la filière hévéa au développement de l’agriculture dans notre pays.
Il a par ailleurs remercié les responsables de l’IRRDB pour la tenue d’une telle réunion en Côte d’Ivoire et le choix de notre pays pour abriter la prochaine conférence internationale sur le caoutchouc.
Selon lui, cette réunion est la bienvenue car « les transferts des innovations issues de la recherche vont amener les planteurs aux pratiques plus productives, mais aussi plus intelligentes et soucieuses de la préservation de l’environnement, gage de la durabilité de tout développement. »
L’atelier qui va se tenir sur trois journées, les 28 et 29 septembre pour les travaux en atelier et la troisième journée consacrée aux visites sur le terrain verra la participation de professionnels venus du Cameroun, de Malaisie, d’Inde et de France.
Organisé par l’International Rubber Reaserch and Development Board (IRRDB) en collaboration avec l’Association des Professionnels du Caoutchouc Naturel de Côte d’Ivoire (APROMAC), l’atelier, selon Fulgence Koffy, président de l’APROMAC va permettre de présenter les résultats de la recherche sur l’hévéa et les mécanismes de transfert des innovations aux planteurs.
Il a aussi transmis la volonté du Gouvernement d’augmenter la production annuelle d’hévéa de la Côte d’Ivoire, premier producteur africain et septième mondial de caoutchouc naturel avec 350.000 tonnes, pour atteindre 600.000t d’ici 2025.
« La Côte d’Ivoire a pour objectif d’améliorer sa production annuelle de caoutchouc naturel sec avant la fin des dix prochaines années » a-t-il soutenu, invitant par ailleurs les acteurs à faire « un transfert de technologie aux planteurs. »
Près de 150.000 planteurs qui détiennent des exploitations individuelles dans les zones hévéïcoles, aux 18 unités de transformation et au Fonds de développement de l’hévéa seront ainsi suivis afin de réaliser cette performance.
Quant à M. Bredoumy Soumaïla, représentant le Ministre de l’agriculture et du développement durable, il a salué le courage, la détermination et l’importante contribution des acteurs de la filière hévéa au développement de l’agriculture dans notre pays.
Il a par ailleurs remercié les responsables de l’IRRDB pour la tenue d’une telle réunion en Côte d’Ivoire et le choix de notre pays pour abriter la prochaine conférence internationale sur le caoutchouc.
Selon lui, cette réunion est la bienvenue car « les transferts des innovations issues de la recherche vont amener les planteurs aux pratiques plus productives, mais aussi plus intelligentes et soucieuses de la préservation de l’environnement, gage de la durabilité de tout développement. »
L’atelier qui va se tenir sur trois journées, les 28 et 29 septembre pour les travaux en atelier et la troisième journée consacrée aux visites sur le terrain verra la participation de professionnels venus du Cameroun, de Malaisie, d’Inde et de France.