Abidjan accueille depuis ce lundi 21 novembre, un Atelier régional sur l’analyse des risques phytosanitaires du cacaoyer auquel participent la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Nigéria, le Cameroun et le Togo qui contribuent à 98 % de la production africaine.
Le cacao est important pour le développement et la réduction de la pauvreté, fournissant un moyen de subsistance à plus de trois millions de familles d’agriculteurs et à quinze millions de travailleurs dans le monde.
Malheureusement, la cacaoculture en Afrique fait face à de nombreuses contraintes liées à une combinaison de facteurs tels que la faible productivité, le vieillissement des vergers, l’impact accru des parasites et des maladies du cacao.
Par ailleurs, « la maladie du balai de sorcière et la moniliose qui affectent la production en Amérique latine et celle du foreur des cabosses, responsable d’importantes pertes en Asie pourraient être dévastatrices si elles étaient introduites en Afrique », prévient le Dr Nicodème Zakri du Centre national de recherche agronomique (CNRA).
Ainsi, un projet régional (projet CFC /ICCO/43) a été initié avec pour objectif d’améliorer la productivité des exploitations de cacao par la lutte intégrée contre les maladies et les insectes nuisibles indigènes et la prévention de l’introduction des nuisibles exogènes.
Cet atelier devrait donc permettre Renforcer les capacités régionales en matière de surveillance du verger et de gestion des risques liés aux maladies et ravageurs exogènes du cacaoyer.
Représentant la directrice générale du du Conseil Café-cacao, Nanga Coulibaly a salué le choix de la capitale économique ivoirienne pour abriter un tel événement qui « permettra de mieux gérer et maîtriser ces phénomènes ravageurs.
Depuis 2013, le CNRA en Côte d’Ivoire, le CRIG au Ghana, le CRIN au Nigéria, l’IRAD au Cameroun et l’ITRA au Togo participent à la mise en œuvre de ce projet qui est financé par le Fonds Commun des Produits de Bases (CFC) avec une contribution financière des pays participants et des chocolatiers.
Atapointe
Le cacao est important pour le développement et la réduction de la pauvreté, fournissant un moyen de subsistance à plus de trois millions de familles d’agriculteurs et à quinze millions de travailleurs dans le monde.
Malheureusement, la cacaoculture en Afrique fait face à de nombreuses contraintes liées à une combinaison de facteurs tels que la faible productivité, le vieillissement des vergers, l’impact accru des parasites et des maladies du cacao.
Par ailleurs, « la maladie du balai de sorcière et la moniliose qui affectent la production en Amérique latine et celle du foreur des cabosses, responsable d’importantes pertes en Asie pourraient être dévastatrices si elles étaient introduites en Afrique », prévient le Dr Nicodème Zakri du Centre national de recherche agronomique (CNRA).
Ainsi, un projet régional (projet CFC /ICCO/43) a été initié avec pour objectif d’améliorer la productivité des exploitations de cacao par la lutte intégrée contre les maladies et les insectes nuisibles indigènes et la prévention de l’introduction des nuisibles exogènes.
Cet atelier devrait donc permettre Renforcer les capacités régionales en matière de surveillance du verger et de gestion des risques liés aux maladies et ravageurs exogènes du cacaoyer.
Représentant la directrice générale du du Conseil Café-cacao, Nanga Coulibaly a salué le choix de la capitale économique ivoirienne pour abriter un tel événement qui « permettra de mieux gérer et maîtriser ces phénomènes ravageurs.
Depuis 2013, le CNRA en Côte d’Ivoire, le CRIG au Ghana, le CRIN au Nigéria, l’IRAD au Cameroun et l’ITRA au Togo participent à la mise en œuvre de ce projet qui est financé par le Fonds Commun des Produits de Bases (CFC) avec une contribution financière des pays participants et des chocolatiers.
Atapointe