« Les nominations approuvées en conseil des ministres de janvier 2014 à octobre 2016 sous l’angle du genre indique une représentation déséquilibrée entre les femmes et les hommes aux postes de responsabilité au sein des administrations publiques et parapubliques. Le cumul des nominations sur ces deux années donne 196 femmes, soit 18,56%, et 860 hommes, soit 81,44%, sur 1056 nominations ».
Cette étude à été révélé hier à l’Hôtel du District d’Abidjan au cours de la présentation de la synthèse des résultats d’une étude portant sur « L’analyse des nominations en conseil des ministres de janvier 2015 à octobre 2016 selon le genre » par Mme Rachel Gogoua, présidente du groupe des organisations féminines pour l’égalité homme-femme (GOFEHF). A l’en croire, la situation telle que relevée dans cette étude pourrait traduire une insuffisance de volonté politique pour franchir le pas. C’est pourquoi, pour relever le taux de représentation des femmes dans les nominations dans les institutions publiques et parapubliques, elle recommande que les femmes formées et compétentes soient mises à contribution. Elle a aussi préconisé la publication des hauts postes de responsabilité afin que les femmes puissent postuler. « C’est un défi majeur qui est à la portée de notre pays, à condition que les dispositions existantes soient mises en œuvre et que le cadre juridique soit complété. Il faut simplement mettre tous ces cadres en œuvre pour libérer le potentiel des femmes », a recommandé Rachel Gogoua au gouvernement.
Rachelle GOHOURE
Cette étude à été révélé hier à l’Hôtel du District d’Abidjan au cours de la présentation de la synthèse des résultats d’une étude portant sur « L’analyse des nominations en conseil des ministres de janvier 2015 à octobre 2016 selon le genre » par Mme Rachel Gogoua, présidente du groupe des organisations féminines pour l’égalité homme-femme (GOFEHF). A l’en croire, la situation telle que relevée dans cette étude pourrait traduire une insuffisance de volonté politique pour franchir le pas. C’est pourquoi, pour relever le taux de représentation des femmes dans les nominations dans les institutions publiques et parapubliques, elle recommande que les femmes formées et compétentes soient mises à contribution. Elle a aussi préconisé la publication des hauts postes de responsabilité afin que les femmes puissent postuler. « C’est un défi majeur qui est à la portée de notre pays, à condition que les dispositions existantes soient mises en œuvre et que le cadre juridique soit complété. Il faut simplement mettre tous ces cadres en œuvre pour libérer le potentiel des femmes », a recommandé Rachel Gogoua au gouvernement.
Rachelle GOHOURE