Gagnoa - La présidente-fondatrice de la société coopérative de l’Organisation panafricaine des femmes rurales (OPAFER-Gagnoa), Ossoué Ozigré valentine, a plaidé, jeudi, auprès des propriétaires terriens du département de Gagnoa, pour l'attribution de terres cultivables aux femmes, pour la culture du manioc.
« C’est vrai que chez nous, la femme n’a pas droit à la terre, mais je plaide, car avec le manioc c’est l’argent rapide », a déclaré Mme Ozigré, s’adressant à une vingtaine de chefs de tribu, de terres et propriétaires terriens, lors d’une rencontre à Zahibohio (35 km de Gagnoa). Ces derniers étaient venus prendre part à la présentation du projet d’installation d’une unité de transformation de manioc à Gagnoa.
"Les femmes devraient poursuivre les négociations jusqu’à être écoutées", a insisté la présidente-fondatrice de OPAFER, dont le projet est d’arrivé à fédérer, par villages du département, les coopératives de femmes exerçants dans le manioc, en vue d’arriver à couvrir la demande en tubercule nécessaire au fonctionnement de la future unité de transformation.
L’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), qui plaide aussi pour la cession de la terre à la femme, a pris l’engagement, par son représentant Djoman Alain, d’encadrer toutes les femmes avec un lopin de terre et de leurs fournir gracieusement des pépinières de manioc.
dd/tm
« C’est vrai que chez nous, la femme n’a pas droit à la terre, mais je plaide, car avec le manioc c’est l’argent rapide », a déclaré Mme Ozigré, s’adressant à une vingtaine de chefs de tribu, de terres et propriétaires terriens, lors d’une rencontre à Zahibohio (35 km de Gagnoa). Ces derniers étaient venus prendre part à la présentation du projet d’installation d’une unité de transformation de manioc à Gagnoa.
"Les femmes devraient poursuivre les négociations jusqu’à être écoutées", a insisté la présidente-fondatrice de OPAFER, dont le projet est d’arrivé à fédérer, par villages du département, les coopératives de femmes exerçants dans le manioc, en vue d’arriver à couvrir la demande en tubercule nécessaire au fonctionnement de la future unité de transformation.
L’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), qui plaide aussi pour la cession de la terre à la femme, a pris l’engagement, par son représentant Djoman Alain, d’encadrer toutes les femmes avec un lopin de terre et de leurs fournir gracieusement des pépinières de manioc.
dd/tm