Le Programme d’Appui à la Production Vivrière et à la Sécurité Alimentaire (PAPVA-SA), à l’initiative de la Fédération nationale de soutien aux coopératives de vivriers de Côte d’Ivoire (FENASCOVICI) avec l’appui de Africa Building Groupe dirigé par Francesca Tirelli, est rentré dans sa phase active avec la pose de la première pierre d’une usine de Manioc à Yaou dans le département de Bonoua (environ 40Km au sud d’Abidjan).
Francesca Tirelli a affrimé que le PAPVA-SA d’un coût global estimé à environ 295 milliards de F CFA, une fois à son terme « va changer la Côte d’Ivoire ». En ce sens qu’il va permettre d’assurer une autosuffisance alimentaire au pays, mais surtout va contribuer à l’autonomisation aussi bien des femmes que des jeunes. C’est environ 3,475 millions d’emplois que va générer ce programme, soit une résorption de moitié du taux de chômage en Côte d’Ivoire. La PDG de Africa Building a invité les femmes à s’approprier ce programme.
La présidente du Conseil d’administration de la FENASCIVICI, Irié Lou Colette a fait l’historique de ce programme, qui selon elle est le résultat de la détermination et la volonté de réussir qu’elle ne cesse d’afficher, Ce en dépit du fait qu’elle n’a fait aucune étude académique. La PCA de la FENASCOVICI a rappelé que ce sont 19 ministères techniques qui sont engagés dans ce programme qui prévoit la construction de 9 unités de transformation de manioc en pâte, attiéké, gari, amidon de manieoc sur l’ensemble du territoire national et la mise en valeur d’environ 25.000 parcelles cultivables.
Avec le financement reçu des bailleurs et l’appui d’Africa Building, seront mis en production goutte à goutte 4.000 hectares de produits vivriers notamment la tomate, l’aubergine, le piment, le gombo, le maïs, le riz, l’igname, la banane et bien d’autres cultures. L’objectif à terme de ce projet, c’est de garantir l’accroissement de la production agricole nationale et assurer définitivement la sécurité alimentaire.
Intervenant au nom du préfet de la région du Sud-Comoé, le Secrétaire général de la préfecture d’Aboisso a dit sa gratitude et sa reconnaissance à Irié Lou Colette pour son action en faveur de la promotion de la culture vivrière en Côte d’Ivoire. A Francesca Tirelli, il a dit ses remerciements pour avoir fait confiance à la Côte d’Ivoire en la choisissant pour abriter cet important programme. « La création de l’unité de formation et le démarrage de ses activités à Bonoua est un signe fort pour la jeunesse et pour les femmes », a-t-il dit. Le SG de la préfecture d’Aboisso a encouragé les femmes mais surtout les jeunes à s’intéresser au vivrier pour garantir la sécurité alimentaire.
L’unité de transformation et de formation de Bonoua verra le jour, selon Irié Lou Colette dans 24 mois. Etaient présents à cette cérémonie, les rois et chefs traditionnels du département, les responsables administratifs et politiques.
Elisée B.
Francesca Tirelli a affrimé que le PAPVA-SA d’un coût global estimé à environ 295 milliards de F CFA, une fois à son terme « va changer la Côte d’Ivoire ». En ce sens qu’il va permettre d’assurer une autosuffisance alimentaire au pays, mais surtout va contribuer à l’autonomisation aussi bien des femmes que des jeunes. C’est environ 3,475 millions d’emplois que va générer ce programme, soit une résorption de moitié du taux de chômage en Côte d’Ivoire. La PDG de Africa Building a invité les femmes à s’approprier ce programme.
La présidente du Conseil d’administration de la FENASCIVICI, Irié Lou Colette a fait l’historique de ce programme, qui selon elle est le résultat de la détermination et la volonté de réussir qu’elle ne cesse d’afficher, Ce en dépit du fait qu’elle n’a fait aucune étude académique. La PCA de la FENASCOVICI a rappelé que ce sont 19 ministères techniques qui sont engagés dans ce programme qui prévoit la construction de 9 unités de transformation de manioc en pâte, attiéké, gari, amidon de manieoc sur l’ensemble du territoire national et la mise en valeur d’environ 25.000 parcelles cultivables.
Avec le financement reçu des bailleurs et l’appui d’Africa Building, seront mis en production goutte à goutte 4.000 hectares de produits vivriers notamment la tomate, l’aubergine, le piment, le gombo, le maïs, le riz, l’igname, la banane et bien d’autres cultures. L’objectif à terme de ce projet, c’est de garantir l’accroissement de la production agricole nationale et assurer définitivement la sécurité alimentaire.
Intervenant au nom du préfet de la région du Sud-Comoé, le Secrétaire général de la préfecture d’Aboisso a dit sa gratitude et sa reconnaissance à Irié Lou Colette pour son action en faveur de la promotion de la culture vivrière en Côte d’Ivoire. A Francesca Tirelli, il a dit ses remerciements pour avoir fait confiance à la Côte d’Ivoire en la choisissant pour abriter cet important programme. « La création de l’unité de formation et le démarrage de ses activités à Bonoua est un signe fort pour la jeunesse et pour les femmes », a-t-il dit. Le SG de la préfecture d’Aboisso a encouragé les femmes mais surtout les jeunes à s’intéresser au vivrier pour garantir la sécurité alimentaire.
L’unité de transformation et de formation de Bonoua verra le jour, selon Irié Lou Colette dans 24 mois. Etaient présents à cette cérémonie, les rois et chefs traditionnels du département, les responsables administratifs et politiques.
Elisée B.