Adzopé, Cent dix hectares de cacao ont été arrachés dans la zone d’Adzopé dans le cadre de la lutte contre la maladie du Swollen shoot, a indiqué le chef de zone de l’ANADER, Latah Sour, faisant le bilan de ses activités jeudi aux membres du conseil d’administration.
« Nous avions ciblé 90 hectares dès le départ de l’opération, mais face à l’ampleur de la maladie dans la zone, nous avons atteint les 110 hectares », a-t-il déclaré.
Selon lui, l’opération a rencontré des difficultés face à la réticence de nombreux paysans relativement à la méthode de lutte contre la maladie du Swollen shoot.
« C’est vraiment difficile pour nous de couper nos cacaoyers après plusieurs années d’effort et plus si nous coupons nos cacaoyers, on ne sait plus comment faire pour gagner de l’argent pour nous occuper de nos enfants qui vont à l’école », s’est inquiété un paysan de Bonahouin, Assiboua Marcel.
Face à cette situation, le directeur général de l’ANADER, Sidiki Cissé, a tenu à rassurer les paysans sur le bien-fondé de l’opération. Selon lui, il est mieux, pour les paysans, d’arracher les plants atteints de la maladie et les remplacer, afin d’avoir un verger sain et plus productif.
Par ailleurs, il a invité tous les paysans à s’inscrire dans l’opération, car cela est à leur profit, annonçant des mesures pour permettre aux paysans de se nourrir et même d’avoir de l’argent en attendant que leurs nouveaux champs rentrent en production.
Ainsi, a proposé le DG de l’ANADER, en plus des jeunes plants de cacaoyers pour le renouvellement du verger, les paysans bénéficient de semences de riz, de maïs, de haricot et de rejets de bananiers.
(AIP)
IBT/kp
« Nous avions ciblé 90 hectares dès le départ de l’opération, mais face à l’ampleur de la maladie dans la zone, nous avons atteint les 110 hectares », a-t-il déclaré.
Selon lui, l’opération a rencontré des difficultés face à la réticence de nombreux paysans relativement à la méthode de lutte contre la maladie du Swollen shoot.
« C’est vraiment difficile pour nous de couper nos cacaoyers après plusieurs années d’effort et plus si nous coupons nos cacaoyers, on ne sait plus comment faire pour gagner de l’argent pour nous occuper de nos enfants qui vont à l’école », s’est inquiété un paysan de Bonahouin, Assiboua Marcel.
Face à cette situation, le directeur général de l’ANADER, Sidiki Cissé, a tenu à rassurer les paysans sur le bien-fondé de l’opération. Selon lui, il est mieux, pour les paysans, d’arracher les plants atteints de la maladie et les remplacer, afin d’avoir un verger sain et plus productif.
Par ailleurs, il a invité tous les paysans à s’inscrire dans l’opération, car cela est à leur profit, annonçant des mesures pour permettre aux paysans de se nourrir et même d’avoir de l’argent en attendant que leurs nouveaux champs rentrent en production.
Ainsi, a proposé le DG de l’ANADER, en plus des jeunes plants de cacaoyers pour le renouvellement du verger, les paysans bénéficient de semences de riz, de maïs, de haricot et de rejets de bananiers.
(AIP)
IBT/kp