Daloa – Les organisations professionnelles agricoles et les exploitants individuels de la région du Haut-Sassandra ont été informés du démarrage d’un projet de mise en place de dispositifs pilotes d’un conseil de gestion agricole afin de rendre plus professionnelle l’agriculture en Côte d’Ivoire.
« On veut donner une nouvelle image à l’agriculture. On veut que les OPA et les exploitions agricoles deviennent de véritables entreprises, de véritables petites et moyennes entreprises (PME) en prenant en compte la dimension économique de ces PME », a lancé vendredi, à Daloa l’expert technique du Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricoles (FIRCA), Ané Etienne, lors d’une rencontre d’information.
Pour l’expert, l’enjeu du projet est de développer économiquement les exploitations agricoles, ce qui va permettre de créer des emplois pour les jeunes, renforcer l’autosuffisance alimentaire et créer la richesse au niveau macroéconomique et économique.
La mise en place des centres de gestion et d’économie rurale permettra accompagner les organisations professionnels agricoles et produire des données dans le monde agricole.
Cette réunion d’information et de sensibilisation qui s’est tenue au siège de l’Anader de Daloa avait pour objectif d’informer les autorités locales et les organisations professionnelles agricoles et les exploitants agricoles sur le projet, expliquer le rôle de chaque acteur du projet et expliquer également le processus de recrutement des adhérents en phase pilote et sur le mécanisme d’adhésion.
Ce projet, justifie-t-on, vise à contribuer à améliorer le revenu des producteurs, permettre aux producteurs de subvenir à leurs besoins, à faire de l’agriculture ivoirienne une agriculture professionnelle et à permettre aux producteurs d’avoir des données et d’être crédibles vis-à-vis des banquiers.
Le projet pilote de mise en place de dispositifs du conseil de gestion agricole se fera dans les régions du Poro, de Gbêkê et du Haut-Sassandra. Il concerne les filières riz, maïs, piscicole, aquacole ainsi que les légumes et s’inscrit dans le volet 1 du programme filière agricole durable de Côte d’Ivoire (FADCI) financé par le deuxième contrat de désendettement et de développement (C2D) conclu en 2016 entre l’Etat de Côte d’Ivoire et la France.
Apk/kp
« On veut donner une nouvelle image à l’agriculture. On veut que les OPA et les exploitions agricoles deviennent de véritables entreprises, de véritables petites et moyennes entreprises (PME) en prenant en compte la dimension économique de ces PME », a lancé vendredi, à Daloa l’expert technique du Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricoles (FIRCA), Ané Etienne, lors d’une rencontre d’information.
Pour l’expert, l’enjeu du projet est de développer économiquement les exploitations agricoles, ce qui va permettre de créer des emplois pour les jeunes, renforcer l’autosuffisance alimentaire et créer la richesse au niveau macroéconomique et économique.
La mise en place des centres de gestion et d’économie rurale permettra accompagner les organisations professionnels agricoles et produire des données dans le monde agricole.
Cette réunion d’information et de sensibilisation qui s’est tenue au siège de l’Anader de Daloa avait pour objectif d’informer les autorités locales et les organisations professionnelles agricoles et les exploitants agricoles sur le projet, expliquer le rôle de chaque acteur du projet et expliquer également le processus de recrutement des adhérents en phase pilote et sur le mécanisme d’adhésion.
Ce projet, justifie-t-on, vise à contribuer à améliorer le revenu des producteurs, permettre aux producteurs de subvenir à leurs besoins, à faire de l’agriculture ivoirienne une agriculture professionnelle et à permettre aux producteurs d’avoir des données et d’être crédibles vis-à-vis des banquiers.
Le projet pilote de mise en place de dispositifs du conseil de gestion agricole se fera dans les régions du Poro, de Gbêkê et du Haut-Sassandra. Il concerne les filières riz, maïs, piscicole, aquacole ainsi que les légumes et s’inscrit dans le volet 1 du programme filière agricole durable de Côte d’Ivoire (FADCI) financé par le deuxième contrat de désendettement et de développement (C2D) conclu en 2016 entre l’Etat de Côte d’Ivoire et la France.
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