La question de la bonne gestion des pesticides est d’un enjeu important. En effet, la mauvaise utilisation des pesticides et surtout l’utilisation des pesticides obsolètes, c’est-à-dire frauduleux, interdits ou périmés, constituent un réel danger aussi bien pour l’homme que pour l’environnement.
C’est pourquoi, le Projet de Gestion de Pesticides Obsolètes en Côte d’Ivoire (PROGEP-CI) a organisé les 9, 10 et 12 mai 2017, une session de formation afin de mieux outiller les journalistes à sensibiliser les populations sur les dangers avérés de l’utilisation des pesticides périmés, interdits ou frauduleux. Ainsi, ce sont 90 journalistes issus des médias nationaux et internationaux et bloggeurs du Web qui ont vu leurs capacités renforcées sur la question de la gestion et de l’utilisation des pesticides pour non seulement diffuser des informations justes sur ledit projet, mais en plus servir de relais de sensibilisation des populations.
C’est au Dr N’Guessan Mathieu, spécialiste en Chimie Environnementale du PROGEP-CI qu’est revenu l’honneur de présenter le projet, ses enjeux pour la Côte d’Ivoire et son bénéfice pour la population et l’environnement. S’appuyant, sur des résultats de recherches, il a démontré aux participants comment les pesticides pouvaient gravement nuire à la santé humaine et à l’environnement.
Mais avant, MM. Silué Gnénéyéri, Directeur de la Protection des Végétaux, du Contrôle et de la Qualité et Gaston Kouassi ont planté le décor et rappelé le contexte de l’utilisation des pesticides en Côte d’Ivoire. Les exposés de ces deux experts du Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural ont porté sur des thématiques aussi importantes les unes que les autres notamment la réglementation en vigueur en Côte d’Ivoire en matière de pesticides, la reconnaissance des pesticides homologués et les cas de fraudes ainsi que les impacts de l’utilisation des pesticides obsolètes sur la santé humaine et l’environnement. Avec des exemples concrets et des images bien à propos, les trois formateurs ont édifié les journalistes sur la nécessité d’une bonne gestion des pesticides en Côte d’Ivoire. Ils ont exhorté les participants à jouer pleinement leur rôle en s’impliquant fortement dans la sensibilisation et s’appropriant les activités du PROGEP-CI, seule alternative pour une bonne gestion des pesticides obsolètes en Côte d’Ivoire.
A l’ouverture de cet atelier le mardi, 09 mai 2017, à l’Hôtel IBIS d’Abidjan Plateau, le Professeur Kouadio Georges, Directeur Général de l’Environnement et Coordonnateur du PROGEP-CI, a rappelé l’importance du rôle des médias dans la mise en œuvre de ce projet qui est centré sur l’homme et sur l’environnement. « Les médias jouent un rôle capital dans l’information et la sensibilisation du public car, c’est au travers des médias que la plupart des citoyens sont informés des actions des gouvernants et des incidences que ces actions ont sur eux », a-t-il affirmé. Puis il a appelé les journalistes, hommes de médias et blogueurs du Web à s’impliquer véritablement dans la mise en œuvre du PROGEP-CI afin d’aider la Côte d’Ivoire à inventorier, collecter, transporter, stocker et éliminer de manière écologiquement rationnelle, les stocks de pesticides interdits, périmés et frauduleux présents sur le territoire national.
Fortement sensibilisés sur la question, les participants ont adhéré à l’idée de mettre en place un réseau des journalistes et hommes de média pour la lutte contre l’utilisation des pesticides périmés, interdits et frauduleux.
Placé sous la tutelle du Ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable, le PROGEP-CI est un projet financé par la Banque Mondiale pour aider la Côte d’Ivoire à améliorer la gestion des pesticides par l’inventaire, la collecte et l’élimination de manière écologique, des pesticides obsolètes qui sont de véritables poisons pour l’homme et l’environnement.
C’est pourquoi, le Projet de Gestion de Pesticides Obsolètes en Côte d’Ivoire (PROGEP-CI) a organisé les 9, 10 et 12 mai 2017, une session de formation afin de mieux outiller les journalistes à sensibiliser les populations sur les dangers avérés de l’utilisation des pesticides périmés, interdits ou frauduleux. Ainsi, ce sont 90 journalistes issus des médias nationaux et internationaux et bloggeurs du Web qui ont vu leurs capacités renforcées sur la question de la gestion et de l’utilisation des pesticides pour non seulement diffuser des informations justes sur ledit projet, mais en plus servir de relais de sensibilisation des populations.
C’est au Dr N’Guessan Mathieu, spécialiste en Chimie Environnementale du PROGEP-CI qu’est revenu l’honneur de présenter le projet, ses enjeux pour la Côte d’Ivoire et son bénéfice pour la population et l’environnement. S’appuyant, sur des résultats de recherches, il a démontré aux participants comment les pesticides pouvaient gravement nuire à la santé humaine et à l’environnement.
Mais avant, MM. Silué Gnénéyéri, Directeur de la Protection des Végétaux, du Contrôle et de la Qualité et Gaston Kouassi ont planté le décor et rappelé le contexte de l’utilisation des pesticides en Côte d’Ivoire. Les exposés de ces deux experts du Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural ont porté sur des thématiques aussi importantes les unes que les autres notamment la réglementation en vigueur en Côte d’Ivoire en matière de pesticides, la reconnaissance des pesticides homologués et les cas de fraudes ainsi que les impacts de l’utilisation des pesticides obsolètes sur la santé humaine et l’environnement. Avec des exemples concrets et des images bien à propos, les trois formateurs ont édifié les journalistes sur la nécessité d’une bonne gestion des pesticides en Côte d’Ivoire. Ils ont exhorté les participants à jouer pleinement leur rôle en s’impliquant fortement dans la sensibilisation et s’appropriant les activités du PROGEP-CI, seule alternative pour une bonne gestion des pesticides obsolètes en Côte d’Ivoire.
A l’ouverture de cet atelier le mardi, 09 mai 2017, à l’Hôtel IBIS d’Abidjan Plateau, le Professeur Kouadio Georges, Directeur Général de l’Environnement et Coordonnateur du PROGEP-CI, a rappelé l’importance du rôle des médias dans la mise en œuvre de ce projet qui est centré sur l’homme et sur l’environnement. « Les médias jouent un rôle capital dans l’information et la sensibilisation du public car, c’est au travers des médias que la plupart des citoyens sont informés des actions des gouvernants et des incidences que ces actions ont sur eux », a-t-il affirmé. Puis il a appelé les journalistes, hommes de médias et blogueurs du Web à s’impliquer véritablement dans la mise en œuvre du PROGEP-CI afin d’aider la Côte d’Ivoire à inventorier, collecter, transporter, stocker et éliminer de manière écologiquement rationnelle, les stocks de pesticides interdits, périmés et frauduleux présents sur le territoire national.
Fortement sensibilisés sur la question, les participants ont adhéré à l’idée de mettre en place un réseau des journalistes et hommes de média pour la lutte contre l’utilisation des pesticides périmés, interdits et frauduleux.
Placé sous la tutelle du Ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable, le PROGEP-CI est un projet financé par la Banque Mondiale pour aider la Côte d’Ivoire à améliorer la gestion des pesticides par l’inventaire, la collecte et l’élimination de manière écologique, des pesticides obsolètes qui sont de véritables poisons pour l’homme et l’environnement.
