Odienné - Des producteurs de noix de cajou ont été sensibilisés sur la qualité du produit, mercredi, par une mission composée de responsables du Conseil du coton et de l'anacarde, de l’Agence nationale d'appui au développement rural (ANADER) et de représentants des exportateurs.
L’objectif global de cette mission de sensibilisation est d’informer, de sensibiliser et d’impliquer étroitement les acteurs de la filière dans la gestion de la qualité de la noix de cajou.
« Sensibiliser les producteurs à ne commercialiser que des produits bien séchés et bien triés, sensibiliser les acheteurs et les exportateurs à n’acheter que des produits bien séchés et bien triés, sensibiliser tous les acteurs sur la mise en œuvre scrupuleuse des dispositions de la commercialisation, notamment de celles liées à la qualité des produits (meilleures conditions de transport, de conditionnement et de stockage) », a expliqué Doumbia Mamadou, en justifiant le but de la mission qu'il dirige.
Il s’agit pour la mission d’attirer l'attention de l'ensemble des acteurs sur l’enjeu que représente la bonne qualité pour un développement durable de la filière ivoirienne de cajou. Et ce, du nettoyage du champ au conditionnement dans les sacs en passant par le ramassage, la séparation de la coque de la pomme, le séchage et le stockage en magasin, apprend-t-on.
En février, l’ANADER, en partenariat avec le Conseil du coton et de l’anacarde, avait procédé à une formation similaire en début de campagne pour une bonne qualité de la noix de cajou.
Avec une production annuelle d’au moins 70 000 tonnes de noix de cajou, le district du Denguélé (Nord-Ouest) comprenant les régions du Folon et du Kabadougou est une grande zone productrice de cajou mais quelques fois la qualité est décriée par les exportateurs.
ss/akn/cmas
L’objectif global de cette mission de sensibilisation est d’informer, de sensibiliser et d’impliquer étroitement les acteurs de la filière dans la gestion de la qualité de la noix de cajou.
« Sensibiliser les producteurs à ne commercialiser que des produits bien séchés et bien triés, sensibiliser les acheteurs et les exportateurs à n’acheter que des produits bien séchés et bien triés, sensibiliser tous les acteurs sur la mise en œuvre scrupuleuse des dispositions de la commercialisation, notamment de celles liées à la qualité des produits (meilleures conditions de transport, de conditionnement et de stockage) », a expliqué Doumbia Mamadou, en justifiant le but de la mission qu'il dirige.
Il s’agit pour la mission d’attirer l'attention de l'ensemble des acteurs sur l’enjeu que représente la bonne qualité pour un développement durable de la filière ivoirienne de cajou. Et ce, du nettoyage du champ au conditionnement dans les sacs en passant par le ramassage, la séparation de la coque de la pomme, le séchage et le stockage en magasin, apprend-t-on.
En février, l’ANADER, en partenariat avec le Conseil du coton et de l’anacarde, avait procédé à une formation similaire en début de campagne pour une bonne qualité de la noix de cajou.
Avec une production annuelle d’au moins 70 000 tonnes de noix de cajou, le district du Denguélé (Nord-Ouest) comprenant les régions du Folon et du Kabadougou est une grande zone productrice de cajou mais quelques fois la qualité est décriée par les exportateurs.
ss/akn/cmas
