Peleforo Gon Coulibaly (UPGC) par le coordonnateur national du programme d’appui à la production avicole nationale (PAPAN) Dr Essoh Frank Aimé comme un modèle de réussite en aviculture. Après avoir effectué des études en sciences économies et en sciences de gestion est devenu aviculteur..
Les éleveurs de volaille ou aviculteurs et les populations de la ville de Korhogo au nord de la Côte d’Ivoire ont été sensibilisés au métier de l’aviculteur qui est un, secteur d’activité qui génère des emplois. Participe donc à la réduction de la pauvreté et du taux de chômage a indiqué le coordonnateur national du programme d’appui à la production avicole nationale (PAPAN) Dr Essoh Frank Aimé. C’était le 09 Novembre 2017 à Korhogo à l’ amphithéâtre C de l’Université Peleforo Gon Coulibaly. C’était ors de sa présentation relative à la conférence sur le métier de l’aviculteur dont le thème est: valorisation du métier de l’aviculteur. sensibiliser tous les secteurs de la filière avicole des avantages et du potentiel qui existent dans la région du poro, montrer les métiers qui existent et qui pourraient faciliter l’insertion des jeunes diplômés des universités publiques et des grandes écoles, identifier de nouvelles perspectives pour accélérer la modernisation de l’aviculture ivoirienne.
Koné Tiefing un modèle de réussite qui , après des études supérieures en sciences économie et en sciences de gestion à l’université d’Abidjan a décidé de s’investir dans le milieu rural sans aucun moyens de bord s’est frayé une place au soleil. Il a été présenté aux étudiants inscrits en agro pastoral de l’université peleforo gon Coulibaly (UPGC) comme un modèle de réussite. C’était en présence du secrétaire général1 de préfecture de Korhogo Binaté Lassina, représentant le préfet de la région du poro , du vice président de l’université peleforo gon Coulibaly Fangah Adja Ferdinand. Aujourd’hui marié et père de deux enfants, propriétaire de trois fermes avicoles modernes situées à la lisière du bas-fond du quartier Ossiené, et les deux autres situées sur la route des villages Kapélé et Waraniéné, des bourgades situées à quelques encablures de la commune de korhogo. Il est par ailleurs président de la société coopérative des aviculteurs de la région du poro (SCARP), président du groupement de défense sanitaire avicole et président du conseil d’administration du futur abattoir avicole en construction .Il nous à fait découvrir ses exploitations avicoles qui emploient une vingtaine d’hommes et de femmes en plein temps et un cadre propice pour les stages pratiques pour les étudiants en agro pastorale. « Après l’université j’ai décidé de m’installer dans le milieu rural dont j’ai fais des études spécialisées en sciences de gestion et en sciences économies. ça n’a pas été facile puisque j’étais confronté non seulement à la résistance familiale et aux moyens financiers. Les parents n’ont pas apprécié que je puisse faire des études supérieures en sciences économies et en en sciences gestion et devenir éleveurs de poulets comme ils aimaient le dire. Un métier qui n’est pas valorisant m’ont-ils dit. Mais j’ai bravé tous ses obstacles parce que j’avais des objectifs, des ambitions et des idées claires à atteindre. Je me suis au dessus des moqueries, des frustrations par-ci et par là ». Si vous êtes balayeur, l’objectif est de bien faire le métier de balayeur et de gagner décemment sa vie .Ensuite je me suis intéressé à l’agriculture de connexion notamment les céréales qui rentrent dans la composition de l’alimentation de la volaille notamment la nutrition dont le maïs hybride… et je vends le reste. Ensuite chaque année je reçois des stagiaires sur les différences fermes pour les soutenances des diplômes. Nous restons en contacts avec eux .Certains ont réussi à créer leurs propres fermes avicoles, d’autres travaillent dans des fermes avicoles dans d’autre localités du pays et certains poursuivre leurs études a déclaré Koné Tiefing. L’ouverture de l’abattoir régionale de volaille dans la ville de korhogo vient réduire non seulement la commercialisation de volaille, résoudre les problèmes de production, de consommation en assurant une sécurité sanitaire alimentaire garantie. Car des exigences seront demandées aux éleveurs qui vendent à l’abattoir afin de respecter les périodes d’incubation quand la volaille est sous traitement antibiotique avant de l’abattre. Voila pourquoi nous utilisons les produits bios dans la santé de la volaille pour réduire le taux d’utilisation des antibiotiques. En élevage vous pouvez obtenir 1+1=1 ou 1+1=100 Si vous respecté les normes d’élevage, production, consommation, vente et les salaires du personnel. Vous obtenez des bénéfices qui seront investi pour augmenter votre capitale d’embauche ou dans le cas contraire vous perdez votre capitale. J’encourage les jeunes, les étudiants, diplômés des grandes écoles et universités à s’intéresser au métier d’élevage de volaille qui n’est pas un sous métier destinés au sous hommes. Car l’aviculture nourri son homme et lui garanti une réussite dans la société.
Les éleveurs de volaille ou aviculteurs et les populations de la ville de Korhogo au nord de la Côte d’Ivoire ont été sensibilisés au métier de l’aviculteur qui est un, secteur d’activité qui génère des emplois. Participe donc à la réduction de la pauvreté et du taux de chômage a indiqué le coordonnateur national du programme d’appui à la production avicole nationale (PAPAN) Dr Essoh Frank Aimé. C’était le 09 Novembre 2017 à Korhogo à l’ amphithéâtre C de l’Université Peleforo Gon Coulibaly. C’était ors de sa présentation relative à la conférence sur le métier de l’aviculteur dont le thème est: valorisation du métier de l’aviculteur. sensibiliser tous les secteurs de la filière avicole des avantages et du potentiel qui existent dans la région du poro, montrer les métiers qui existent et qui pourraient faciliter l’insertion des jeunes diplômés des universités publiques et des grandes écoles, identifier de nouvelles perspectives pour accélérer la modernisation de l’aviculture ivoirienne.
Koné Tiefing un modèle de réussite qui , après des études supérieures en sciences économie et en sciences de gestion à l’université d’Abidjan a décidé de s’investir dans le milieu rural sans aucun moyens de bord s’est frayé une place au soleil. Il a été présenté aux étudiants inscrits en agro pastoral de l’université peleforo gon Coulibaly (UPGC) comme un modèle de réussite. C’était en présence du secrétaire général1 de préfecture de Korhogo Binaté Lassina, représentant le préfet de la région du poro , du vice président de l’université peleforo gon Coulibaly Fangah Adja Ferdinand. Aujourd’hui marié et père de deux enfants, propriétaire de trois fermes avicoles modernes situées à la lisière du bas-fond du quartier Ossiené, et les deux autres situées sur la route des villages Kapélé et Waraniéné, des bourgades situées à quelques encablures de la commune de korhogo. Il est par ailleurs président de la société coopérative des aviculteurs de la région du poro (SCARP), président du groupement de défense sanitaire avicole et président du conseil d’administration du futur abattoir avicole en construction .Il nous à fait découvrir ses exploitations avicoles qui emploient une vingtaine d’hommes et de femmes en plein temps et un cadre propice pour les stages pratiques pour les étudiants en agro pastorale. « Après l’université j’ai décidé de m’installer dans le milieu rural dont j’ai fais des études spécialisées en sciences de gestion et en sciences économies. ça n’a pas été facile puisque j’étais confronté non seulement à la résistance familiale et aux moyens financiers. Les parents n’ont pas apprécié que je puisse faire des études supérieures en sciences économies et en en sciences gestion et devenir éleveurs de poulets comme ils aimaient le dire. Un métier qui n’est pas valorisant m’ont-ils dit. Mais j’ai bravé tous ses obstacles parce que j’avais des objectifs, des ambitions et des idées claires à atteindre. Je me suis au dessus des moqueries, des frustrations par-ci et par là ». Si vous êtes balayeur, l’objectif est de bien faire le métier de balayeur et de gagner décemment sa vie .Ensuite je me suis intéressé à l’agriculture de connexion notamment les céréales qui rentrent dans la composition de l’alimentation de la volaille notamment la nutrition dont le maïs hybride… et je vends le reste. Ensuite chaque année je reçois des stagiaires sur les différences fermes pour les soutenances des diplômes. Nous restons en contacts avec eux .Certains ont réussi à créer leurs propres fermes avicoles, d’autres travaillent dans des fermes avicoles dans d’autre localités du pays et certains poursuivre leurs études a déclaré Koné Tiefing. L’ouverture de l’abattoir régionale de volaille dans la ville de korhogo vient réduire non seulement la commercialisation de volaille, résoudre les problèmes de production, de consommation en assurant une sécurité sanitaire alimentaire garantie. Car des exigences seront demandées aux éleveurs qui vendent à l’abattoir afin de respecter les périodes d’incubation quand la volaille est sous traitement antibiotique avant de l’abattre. Voila pourquoi nous utilisons les produits bios dans la santé de la volaille pour réduire le taux d’utilisation des antibiotiques. En élevage vous pouvez obtenir 1+1=1 ou 1+1=100 Si vous respecté les normes d’élevage, production, consommation, vente et les salaires du personnel. Vous obtenez des bénéfices qui seront investi pour augmenter votre capitale d’embauche ou dans le cas contraire vous perdez votre capitale. J’encourage les jeunes, les étudiants, diplômés des grandes écoles et universités à s’intéresser au métier d’élevage de volaille qui n’est pas un sous métier destinés au sous hommes. Car l’aviculture nourri son homme et lui garanti une réussite dans la société.