Abidjan - Une étude réalisée sur le fonctionnement des filières commerciales informelles, notamment la commercialisation du vivrier marchand en Côte d’Ivoire, préconise trois axes d’intervention dans la promotion du travail décent.
En vue d’améliorer les conditions de travail et de vie des commerçantes des produits vivriers, les auteurs de l’étude plaident pour une politique sectorielle de promotion du travail décent qui, pour être durable, doit cibler différents niveaux d’intervention, et intégrer un ensemble d’acteurs institutionnels issus des filières vivrières.
Aussi, souhaitent-ils l’amélioration du degré d’aménagement et de gestion des marchés vivriers via une implication plus forte et un contrôle accru des collectivités territoriales, la structuration des filières vivrières à travers l’amélioration du mode de gouvernance des sociétés coopératives et la domination des facteurs individuels de vulnérabilité des commerçantes concernant les enjeux sanitaires et sécuritaires.
Sur la vulnérabilité plurifactorielle des commerçantes, le document dont la restitution a eu lieu vendredi, lors d’un atelier, à Abidjan, indexe le degré élevé d’insalubrité et d’insécurité des principaux marchés qui favorisent la prolifération des ventes ambulantes, la dégradation des conditions de santé des actrices et le faible respect des principes fondamentaux au travail.
L’étude-diagnostic sur les filières commerciales des produits vivriers s’inscrit dans le cadre du projet APERP 3 du Bureau international du travail (BIT). Elle a été conduite en collaboration avec le ministère de l’Emploi et de la Protection sociale.
Elle vise à faire l’état des lieux des conditions d’emploi au sein des filières vivrières et d’identifier les principaux facteurs de vulnérabilité qui affectent les unités commerciales qui y opèrent au sein des principaux marchés de la ville d'Abidjan.
fmo
En vue d’améliorer les conditions de travail et de vie des commerçantes des produits vivriers, les auteurs de l’étude plaident pour une politique sectorielle de promotion du travail décent qui, pour être durable, doit cibler différents niveaux d’intervention, et intégrer un ensemble d’acteurs institutionnels issus des filières vivrières.
Aussi, souhaitent-ils l’amélioration du degré d’aménagement et de gestion des marchés vivriers via une implication plus forte et un contrôle accru des collectivités territoriales, la structuration des filières vivrières à travers l’amélioration du mode de gouvernance des sociétés coopératives et la domination des facteurs individuels de vulnérabilité des commerçantes concernant les enjeux sanitaires et sécuritaires.
Sur la vulnérabilité plurifactorielle des commerçantes, le document dont la restitution a eu lieu vendredi, lors d’un atelier, à Abidjan, indexe le degré élevé d’insalubrité et d’insécurité des principaux marchés qui favorisent la prolifération des ventes ambulantes, la dégradation des conditions de santé des actrices et le faible respect des principes fondamentaux au travail.
L’étude-diagnostic sur les filières commerciales des produits vivriers s’inscrit dans le cadre du projet APERP 3 du Bureau international du travail (BIT). Elle a été conduite en collaboration avec le ministère de l’Emploi et de la Protection sociale.
Elle vise à faire l’état des lieux des conditions d’emploi au sein des filières vivrières et d’identifier les principaux facteurs de vulnérabilité qui affectent les unités commerciales qui y opèrent au sein des principaux marchés de la ville d'Abidjan.
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