Abidjan (Côte d’Ivoire) - Une table ronde consacrée à la transformation et à la promotion des produits locaux s’ouvrira, jeudi, à Abidjan autour du thème, « inclusion financière, clé de la croissance durable pour les femmes transformatrices en Côte d’Ivoire ».
Initiée par la Fondation African Women Initiatives (AWI), cette table ronde vise à améliorer l’éducation financière des femmes transformatrices tout en les informant sur les programmes et mécanismes financiers mis à leur disposition, aussi bien par l’Etat que le secteur privé.
« La Fondation a décidé de se mettre sur le segment de la transformation pour aider les femmes à se structurer, à transformer et à promouvoir leurs produits », a expliqué, jeudi, face à la presse la présidente de la Fondation AWI, Mariam Fadiga-Fofana, soulignant que cette table ronde servira de prétexte pour lancer la deuxième édition du Forum femme et développement (FOFED) prévue en septembre prochain. .
Quelque 200 participants dont des femmes, des partenaires au développement, des institutions financières et des ministères techniques sont attendus à cette table ronde du jeudi 26 avril prochain.
Les indicateurs de l'inclusion financière en Afrique sont tous inférieurs à la moyenne mondiale. En effet, sur le continent 35 % de la population dispose d'un compte en banque et 15,4 % épargne dans une institution financière.
L’accès au financement des populations reste une problématique structurelle forte des économies d’Afrique subsaharienne, en partie tributaire de la faible inclusion financière des agents économiques des Etats.
En Côte d’Ivoire, le taux de bancarisation reste encore faible, même s’il a connu une réelle progression en 10 ans passant de 7,1 % en 2007 à 16 % en 2016.
Les secteurs agricoles et la petite agro-industrie restent fortement exclus financièrement, en raison du faible niveau d’instruction et d’éducation financière des acteurs, notamment des femmes, véritables soutiens financiers pour leur cercle familial et pour leur communauté, malgré l’ambition de l’Etat de Côte d’Ivoire de parvenir à la transformation structurelle de l’économie.
LS/APA
Initiée par la Fondation African Women Initiatives (AWI), cette table ronde vise à améliorer l’éducation financière des femmes transformatrices tout en les informant sur les programmes et mécanismes financiers mis à leur disposition, aussi bien par l’Etat que le secteur privé.
« La Fondation a décidé de se mettre sur le segment de la transformation pour aider les femmes à se structurer, à transformer et à promouvoir leurs produits », a expliqué, jeudi, face à la presse la présidente de la Fondation AWI, Mariam Fadiga-Fofana, soulignant que cette table ronde servira de prétexte pour lancer la deuxième édition du Forum femme et développement (FOFED) prévue en septembre prochain. .
Quelque 200 participants dont des femmes, des partenaires au développement, des institutions financières et des ministères techniques sont attendus à cette table ronde du jeudi 26 avril prochain.
Les indicateurs de l'inclusion financière en Afrique sont tous inférieurs à la moyenne mondiale. En effet, sur le continent 35 % de la population dispose d'un compte en banque et 15,4 % épargne dans une institution financière.
L’accès au financement des populations reste une problématique structurelle forte des économies d’Afrique subsaharienne, en partie tributaire de la faible inclusion financière des agents économiques des Etats.
En Côte d’Ivoire, le taux de bancarisation reste encore faible, même s’il a connu une réelle progression en 10 ans passant de 7,1 % en 2007 à 16 % en 2016.
Les secteurs agricoles et la petite agro-industrie restent fortement exclus financièrement, en raison du faible niveau d’instruction et d’éducation financière des acteurs, notamment des femmes, véritables soutiens financiers pour leur cercle familial et pour leur communauté, malgré l’ambition de l’Etat de Côte d’Ivoire de parvenir à la transformation structurelle de l’économie.
LS/APA