Le directeur de cabinet adjoint du ministre de l’agriculture et du développement rural, Kouakou Apporture, a procédé mardi à Abengourou (210km au Nord d’Abidjan) au lancement officiel du Projet d’Amélioration et de mise en œuvre de la Politique Rurale de Côte d’Ivoire.
Ce projet, financé à hauteur de 27,4 milliards FCFA par la Banque mondiale, a pour objectif d’appuyer la politique foncière de la Côte d’Ivoire en renforçant les institutions responsables de sa mise en œuvre dans les zones rurales et en introduisant un réseau géodésique et cadastre viable.
De façon spécifique, il permettra de concevoir et de tester un processus bon marché, simplifié et participatif d’enregistrement systématique des droits fonciers, notamment, coutumiers. Il soutiendra, par ailleurs, des pratiques innovantes de sauvegarde des droits de tous les propriétaires terriens, y compris les femmes.
Ce projet est destiné, également, à appuyer des programmes diplômants (masters et filières techniques) et des formations professionnelles sur la sécurité foncière en milieu rural afin de disposer des moyens humains nécessaires pour étendre le système d’enregistrement des droits coutumiers à tout le pays.
Organe de mise en œuvre de la politique foncière rurale de la Côte d’Ivoire, l’agence foncière rurale (AFOR) est chargée d’exécuter ce projet pilote dans six régions administratives, notamment, l’Indénié-Djuablin, le Sud-Comoé, le N’zi-Comoé, le Bafing, l’Agnéby-Tiassa et la Mé. Au total, 267 000 personnes pourront disposer des documents (certificats fonciers) sur les superficies qu’elles possèdent ou exploitent.
Huit cent vingt huit certificats fonciers, dont 601 individuels et 227 collectifs, sont d’ores et déjà établis dans le cadre de ce projet. Une vingtaine ont été remises à leurs détenteurs lors de la cérémonie de lancement. Le porte-parole des récipiendaires, Yacouba Honoré, qui exprimé sa gratitude au gouvernement, a plaidé pour une sensibilisation renforcée des propriétaires terriens en vue de susciter leur adhésion massive à ce projet.
C. K.
Ce projet, financé à hauteur de 27,4 milliards FCFA par la Banque mondiale, a pour objectif d’appuyer la politique foncière de la Côte d’Ivoire en renforçant les institutions responsables de sa mise en œuvre dans les zones rurales et en introduisant un réseau géodésique et cadastre viable.
De façon spécifique, il permettra de concevoir et de tester un processus bon marché, simplifié et participatif d’enregistrement systématique des droits fonciers, notamment, coutumiers. Il soutiendra, par ailleurs, des pratiques innovantes de sauvegarde des droits de tous les propriétaires terriens, y compris les femmes.
Ce projet est destiné, également, à appuyer des programmes diplômants (masters et filières techniques) et des formations professionnelles sur la sécurité foncière en milieu rural afin de disposer des moyens humains nécessaires pour étendre le système d’enregistrement des droits coutumiers à tout le pays.
Organe de mise en œuvre de la politique foncière rurale de la Côte d’Ivoire, l’agence foncière rurale (AFOR) est chargée d’exécuter ce projet pilote dans six régions administratives, notamment, l’Indénié-Djuablin, le Sud-Comoé, le N’zi-Comoé, le Bafing, l’Agnéby-Tiassa et la Mé. Au total, 267 000 personnes pourront disposer des documents (certificats fonciers) sur les superficies qu’elles possèdent ou exploitent.
Huit cent vingt huit certificats fonciers, dont 601 individuels et 227 collectifs, sont d’ores et déjà établis dans le cadre de ce projet. Une vingtaine ont été remises à leurs détenteurs lors de la cérémonie de lancement. Le porte-parole des récipiendaires, Yacouba Honoré, qui exprimé sa gratitude au gouvernement, a plaidé pour une sensibilisation renforcée des propriétaires terriens en vue de susciter leur adhésion massive à ce projet.
C. K.