• Mr le Directeur de Cabinet Adjoint représentant du, Ministre de l'Économie et des Finances
• SEM ABDELMAKEK KETTANI, Ambassadeur du Royaume du Maroc
• Mr BADRE KAKOUNI, Vice-Président du Réseau Habitat et Francophonie représentant Mr JACQUES HOJLO Président du Réseau Habitat et Francophonie
• Mr MOUSSA COULIBALY, Président de l'association des promoteurs immobiliers du Mali et de la fédération des promoteurs immobiliers de l'Afrique de l'ouest.
• Mr SANGARE SIRIKI, Président de la Chambre Nationale des Promoteurs et Constructeurs Agréés de Côte d'Ivoire
• Mmes et Mrs les Directeurs Généraux des Banques, établissements financiers et fonds d'investissement
• Mmes et Messieurs les promoteurs, constructeurs et industriels du secteur de la Construction et de l’Immobilier
• Chers amis de la presse nationale et internationale ;
• Mesdames et Messieurs ;
• Honorables invités ;
Je voudrais ensuite, saluer très chaleureusement la présence à cette cérémonie, du représentant de mon Collègue et frère du Gouvernement le Ministre de l’Économie et des Finances, Monsieur Adama KONE, dont j’apprécie l’implication personnelle, forte et engagée dans la recherche de solutions de financements à nos programmes de logement sociaux.
Mesdames et Messieurs ;
Honorables invités ;
Ce séminaire international sur le financement du logement abordable en Afrique, auquel je prends beaucoup de plaisir à participer ce matin, me réjouit à plus d’un titre.
En effet, ce cadre représente une réelle opportunité pour les acteurs de l’immobilier, venus de divers horizons de l’espace francophone africain, pour mettre en commun leurs intelligences pour réfléchir spécifiquement à la question essentielle du financement du Logement social en Afrique.
Ce séminaire constitue également une plateforme d’échanges, qui nous permettra de partager les meilleures expériences et bonnes pratiques, car en la matière, des réussites existent heureusement et il n’y a pas lieu d’avoir à recréer la roue.
C’est pourquoi je voudrais, au nom de Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, Président de la République de Côte d’ivoire, de Monsieur Amadou GON COULIBALY Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Ministre du Budget et du Portefeuille de l’État, et en mon nom personnel, remercier et féliciter chaleureusement le Réseau Habitat et Francophonie (RHF), représenté par son Vice-président, Monsieur Badre Kanouni, par ailleurs Président du Directoire du Groupe Marocain Al Omrane, pour avoir porté son choix sur notre pays, la Côte d’ivoire, pour abriter ce séminaire.
Je vous prie de transmettre ces remerciements à Monsieur Jacques Hojlo, Président du Réseau Habitat et Francophonie (RHF), ainsi que nos félicitations pour son leadership à la tête de cette organisation qui milite en faveur de l’habitat dans les pays de notre espace commun.
Je voudrais (également) à ce stade de mon propos remercier la présence du représentant du Ministre de l’Économie et des Finances, Monsieur Adama KONE.
Je voudrais enfin remercier les organisateurs ainsi que les partenaires au développement, en l’occurrence, l’Organisation internationale de la Francophonie, la Chambre Nationale des Promoteurs et Constructeurs Agréés de Côte d’Ivoire qui
co- organisent ce séminaire, la Banque de l’Habitat du Sénégal, le Fonds de Garantie Hypothécaire du Mali, ainsi que les institutions et établissements financiers et toutes les délégations venus des pays de l’UEMOA et de l’espace Francophone en général.
Akwaba à tous et à toutes, et nous vous souhaitons un excellent séjour, à la fois fructueux et agréable.
A ce stade de mon propos, permettez que j’exprime toute ma gratitude à nos banques locales avec à leur tête, l’Association des Professionnels de Banques et Établissements Financiers de Côte d’Ivoire (l’APBEF-CI), pour les importants efforts consentis pour accompagner le programme de logements sociaux et économiques mis en œuvre par le Gouvernement ivoirien et dédié aux ménages à faibles revenus.
Mesdames et Messieurs,
Cela a été rappelé tout à l’heure par le représentant du Ministre de l’Économie et des Finances, Depuis les années 1960, l’État de CI a mis en place un dispositif d’accompagnement du logement social, qui s’est avéré relativement efficace, puisqu’il a permis, notamment avec les sociétés SICOGI et SOGEFIHA, de produire un important parc immobilier, d’environ 91.000 logements.
Mais cette politique a malheureusement connu un coup d’arrêt avec la crise économique des années 80.
Pour faire face à cette situation, l’Etat a initié des réformes avec de nouveaux outils de financement pour redynamiser le secteur de l’habitat.
Les axes majeurs de ces réformes sont :
-(i) la création du Compte de Mobilisation pour l’Habitat (CDMH),
-(ii) le renforcement des ressources du Fonds de Soutien à l’Habitat (FSH),
-(iii) la mise en place du Compte des Terrains Urbains (CTU),
-(iv) la création de la Banque de l’habitat de Côte d’Ivoire (BHCI), récemment privatisée et recapitalisée.
Ces instruments d’aide à la production et à l’acquisition de logements devaient permettre aux ménages à revenus modestes, de disposer d’un logement à moindre coût, mais cela n’a pas tout à fait toujours été le cas.
Ce résultat mitigé a eu pour conséquences, l’aggravation de la problématique du logement dans notre pays, et en particulier dans la ville d’Abidjan.
Aujourd’hui, le déficit en logements à coûts abordables pour les ménages à revenus faibles est estimé à plus de 400.000 unités, avec un accroissement de 10% (soit 30 à 40.000 logements) par an.
C’est pour faire face à ce défi croissant, que le Président de la République, Son Excellence M. Alassane OUATTARA, a fait le pari, dès son élection en 2010, de lancer un vaste programme de construction de masse de 60 000 logements sociaux et économiques, aussi bien à Abidjan qu’à l’intérieur du pays.
Ce projet, je dois l’avouer, a connu jusqu’à présent un résultat mitigé ;
Ce programme a permis l’acquisition de 560 hectares de réserves foncières sécurisées à environ 13 milliards de FCFA, l’investissement de plus de 31 milliards de FCFA dans la réalisation de VRD primaires (amenée des réseaux d’eau et d’électricité, bitumage des voies, réalisation des réseaux d’assainissement etc.), l’octroi d’exonérations fiscales aux promoteurs immobiliers estimées à ce jour à plusieurs centaines de milliards de FCFA, etc.
Ce projet a à ce jour permis la production d’environ 12.000 logements, mais nous restons encore loin de l’objectif (je le rappelle de 60.000, porté par la suite à 150 000 logements à construire avant fin 2020.
Mesdames et Messieurs,
Nous avons l’obligation d’apporter à nos populations les plus défavorisée une réponse concrète à la question du logement, qui fait partie des 3 principales préoccupations des ivoiriens (avec l’alimentation et le transport).
Il nous faudra donc redoubler d’effort au cours des prochaines années pour accélérer le rythme, industrialiser la production sécuriser le foncier, mettre en place les ressources budgétaires suffisantes et bien entendu, rechercher des solutions innovantes et efficaces à la question cruciale du financement, aussi bien des acquéreurs que des Promoteurs.
L’accompagnement des banques dans ce processus est resté insuffisant, celles-ci ayant adopté une attitude jugée trop attentiste.
Aujourd’hui la réussite du programme présidentiel de production massive de logements sociaux et économiques à coûts bas pour les ménages les plus pauvres, passe par une plus forte implication des banques à travers les principaux axes d’intervention que sont :
1. La mise en œuvre effective de la circulaire n° 12 du Compte de Mobilisation pour l’Habitat (CDMH), qui abaisse le taux de crédit acquéreur à 5.5% ;
2. L’allongement de la durée du crédit acquéreur sur une durée proche de celle de la vie active (d’environ 20 ans), allongement facilité par un taux de crédit réduit ;
3. L’accroissement du crédit à taux bas octroyé aux promoteurs immobiliers.
Mesdames et Messieurs,
Nous sommes convaincus que ce séminaire, avec la présence d’autant d’experts, nous aidera à faire un bond qualitatif dans la résolution de la problématique du financement du logement abordable en Afrique et que les recommandations qui en sortiront, contribueront à une mise en œuvre plus efficace de nos programmes de logements sociaux et économiques.
Plus concrètement, nous souhaitons une intervention plus forte de nos partenaires et des banques sur les trois points suivants :
1- La mise en place d’un fonds de garantie des crédits accordés aux promoteurs ;
2- L’Alimentation pérenne des Fonds dédiés à l’habitat (CDMH, FSH, CTU), en vue de soutenir durablement le crédit acquéreur, faciliter l’acquisition des terrains et financer leurs aménagements. Cela pourrait passer par des solutions adaptées de parafiscalité (sur les matériaux de construction…) ;
3- Le renforcement des capacités de l’État, avec la création d’une Agence Nationale du Logement Social, dont la mission sera de traiter de bout en bout, l’ensemble des problématiques liées à l’habitat (foncier, aménagement, construction, commercialisation, financement, la sécurisation des Actes de propriété foncière, l’accès au crédit hypothécaire etc.).
Voilà quelques aspects sur lesquels la Côte d’Ivoire, et j’imagine, beaucoup de pays présents ici, en raison de la similarité de nos problématiques, souhaitent avoir des recommandations précises au sortir des différentes tables rondes prévues au cours de ce séminaire.
Monsieur le Ministre,
Monsieur le Vice-Président
Mesdames et Messieurs,
Je terminerai en réitérant mes remerciements, au nom de l’État de Côte d’Ivoire, au Réseau Habitat et Francophonie, pour avoir choisi d’organiser ce séminaire en Côte d’Ivoire, pays de l’hospitalité.
Tout en souhaitant plein succès à vos travaux, je déclare ouvert « LE SÉMINAIRE INTERNATIONAL SUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT ABORDABLE EN AFRIQUE ».
• SEM ABDELMAKEK KETTANI, Ambassadeur du Royaume du Maroc
• Mr BADRE KAKOUNI, Vice-Président du Réseau Habitat et Francophonie représentant Mr JACQUES HOJLO Président du Réseau Habitat et Francophonie
• Mr MOUSSA COULIBALY, Président de l'association des promoteurs immobiliers du Mali et de la fédération des promoteurs immobiliers de l'Afrique de l'ouest.
• Mr SANGARE SIRIKI, Président de la Chambre Nationale des Promoteurs et Constructeurs Agréés de Côte d'Ivoire
• Mmes et Mrs les Directeurs Généraux des Banques, établissements financiers et fonds d'investissement
• Mmes et Messieurs les promoteurs, constructeurs et industriels du secteur de la Construction et de l’Immobilier
• Chers amis de la presse nationale et internationale ;
• Mesdames et Messieurs ;
• Honorables invités ;
Je voudrais ensuite, saluer très chaleureusement la présence à cette cérémonie, du représentant de mon Collègue et frère du Gouvernement le Ministre de l’Économie et des Finances, Monsieur Adama KONE, dont j’apprécie l’implication personnelle, forte et engagée dans la recherche de solutions de financements à nos programmes de logement sociaux.
Mesdames et Messieurs ;
Honorables invités ;
Ce séminaire international sur le financement du logement abordable en Afrique, auquel je prends beaucoup de plaisir à participer ce matin, me réjouit à plus d’un titre.
En effet, ce cadre représente une réelle opportunité pour les acteurs de l’immobilier, venus de divers horizons de l’espace francophone africain, pour mettre en commun leurs intelligences pour réfléchir spécifiquement à la question essentielle du financement du Logement social en Afrique.
Ce séminaire constitue également une plateforme d’échanges, qui nous permettra de partager les meilleures expériences et bonnes pratiques, car en la matière, des réussites existent heureusement et il n’y a pas lieu d’avoir à recréer la roue.
C’est pourquoi je voudrais, au nom de Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, Président de la République de Côte d’ivoire, de Monsieur Amadou GON COULIBALY Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Ministre du Budget et du Portefeuille de l’État, et en mon nom personnel, remercier et féliciter chaleureusement le Réseau Habitat et Francophonie (RHF), représenté par son Vice-président, Monsieur Badre Kanouni, par ailleurs Président du Directoire du Groupe Marocain Al Omrane, pour avoir porté son choix sur notre pays, la Côte d’ivoire, pour abriter ce séminaire.
Je vous prie de transmettre ces remerciements à Monsieur Jacques Hojlo, Président du Réseau Habitat et Francophonie (RHF), ainsi que nos félicitations pour son leadership à la tête de cette organisation qui milite en faveur de l’habitat dans les pays de notre espace commun.
Je voudrais (également) à ce stade de mon propos remercier la présence du représentant du Ministre de l’Économie et des Finances, Monsieur Adama KONE.
Je voudrais enfin remercier les organisateurs ainsi que les partenaires au développement, en l’occurrence, l’Organisation internationale de la Francophonie, la Chambre Nationale des Promoteurs et Constructeurs Agréés de Côte d’Ivoire qui
co- organisent ce séminaire, la Banque de l’Habitat du Sénégal, le Fonds de Garantie Hypothécaire du Mali, ainsi que les institutions et établissements financiers et toutes les délégations venus des pays de l’UEMOA et de l’espace Francophone en général.
Akwaba à tous et à toutes, et nous vous souhaitons un excellent séjour, à la fois fructueux et agréable.
A ce stade de mon propos, permettez que j’exprime toute ma gratitude à nos banques locales avec à leur tête, l’Association des Professionnels de Banques et Établissements Financiers de Côte d’Ivoire (l’APBEF-CI), pour les importants efforts consentis pour accompagner le programme de logements sociaux et économiques mis en œuvre par le Gouvernement ivoirien et dédié aux ménages à faibles revenus.
Mesdames et Messieurs,
Cela a été rappelé tout à l’heure par le représentant du Ministre de l’Économie et des Finances, Depuis les années 1960, l’État de CI a mis en place un dispositif d’accompagnement du logement social, qui s’est avéré relativement efficace, puisqu’il a permis, notamment avec les sociétés SICOGI et SOGEFIHA, de produire un important parc immobilier, d’environ 91.000 logements.
Mais cette politique a malheureusement connu un coup d’arrêt avec la crise économique des années 80.
Pour faire face à cette situation, l’Etat a initié des réformes avec de nouveaux outils de financement pour redynamiser le secteur de l’habitat.
Les axes majeurs de ces réformes sont :
-(i) la création du Compte de Mobilisation pour l’Habitat (CDMH),
-(ii) le renforcement des ressources du Fonds de Soutien à l’Habitat (FSH),
-(iii) la mise en place du Compte des Terrains Urbains (CTU),
-(iv) la création de la Banque de l’habitat de Côte d’Ivoire (BHCI), récemment privatisée et recapitalisée.
Ces instruments d’aide à la production et à l’acquisition de logements devaient permettre aux ménages à revenus modestes, de disposer d’un logement à moindre coût, mais cela n’a pas tout à fait toujours été le cas.
Ce résultat mitigé a eu pour conséquences, l’aggravation de la problématique du logement dans notre pays, et en particulier dans la ville d’Abidjan.
Aujourd’hui, le déficit en logements à coûts abordables pour les ménages à revenus faibles est estimé à plus de 400.000 unités, avec un accroissement de 10% (soit 30 à 40.000 logements) par an.
C’est pour faire face à ce défi croissant, que le Président de la République, Son Excellence M. Alassane OUATTARA, a fait le pari, dès son élection en 2010, de lancer un vaste programme de construction de masse de 60 000 logements sociaux et économiques, aussi bien à Abidjan qu’à l’intérieur du pays.
Ce projet, je dois l’avouer, a connu jusqu’à présent un résultat mitigé ;
Ce programme a permis l’acquisition de 560 hectares de réserves foncières sécurisées à environ 13 milliards de FCFA, l’investissement de plus de 31 milliards de FCFA dans la réalisation de VRD primaires (amenée des réseaux d’eau et d’électricité, bitumage des voies, réalisation des réseaux d’assainissement etc.), l’octroi d’exonérations fiscales aux promoteurs immobiliers estimées à ce jour à plusieurs centaines de milliards de FCFA, etc.
Ce projet a à ce jour permis la production d’environ 12.000 logements, mais nous restons encore loin de l’objectif (je le rappelle de 60.000, porté par la suite à 150 000 logements à construire avant fin 2020.
Mesdames et Messieurs,
Nous avons l’obligation d’apporter à nos populations les plus défavorisée une réponse concrète à la question du logement, qui fait partie des 3 principales préoccupations des ivoiriens (avec l’alimentation et le transport).
Il nous faudra donc redoubler d’effort au cours des prochaines années pour accélérer le rythme, industrialiser la production sécuriser le foncier, mettre en place les ressources budgétaires suffisantes et bien entendu, rechercher des solutions innovantes et efficaces à la question cruciale du financement, aussi bien des acquéreurs que des Promoteurs.
L’accompagnement des banques dans ce processus est resté insuffisant, celles-ci ayant adopté une attitude jugée trop attentiste.
Aujourd’hui la réussite du programme présidentiel de production massive de logements sociaux et économiques à coûts bas pour les ménages les plus pauvres, passe par une plus forte implication des banques à travers les principaux axes d’intervention que sont :
1. La mise en œuvre effective de la circulaire n° 12 du Compte de Mobilisation pour l’Habitat (CDMH), qui abaisse le taux de crédit acquéreur à 5.5% ;
2. L’allongement de la durée du crédit acquéreur sur une durée proche de celle de la vie active (d’environ 20 ans), allongement facilité par un taux de crédit réduit ;
3. L’accroissement du crédit à taux bas octroyé aux promoteurs immobiliers.
Mesdames et Messieurs,
Nous sommes convaincus que ce séminaire, avec la présence d’autant d’experts, nous aidera à faire un bond qualitatif dans la résolution de la problématique du financement du logement abordable en Afrique et que les recommandations qui en sortiront, contribueront à une mise en œuvre plus efficace de nos programmes de logements sociaux et économiques.
Plus concrètement, nous souhaitons une intervention plus forte de nos partenaires et des banques sur les trois points suivants :
1- La mise en place d’un fonds de garantie des crédits accordés aux promoteurs ;
2- L’Alimentation pérenne des Fonds dédiés à l’habitat (CDMH, FSH, CTU), en vue de soutenir durablement le crédit acquéreur, faciliter l’acquisition des terrains et financer leurs aménagements. Cela pourrait passer par des solutions adaptées de parafiscalité (sur les matériaux de construction…) ;
3- Le renforcement des capacités de l’État, avec la création d’une Agence Nationale du Logement Social, dont la mission sera de traiter de bout en bout, l’ensemble des problématiques liées à l’habitat (foncier, aménagement, construction, commercialisation, financement, la sécurisation des Actes de propriété foncière, l’accès au crédit hypothécaire etc.).
Voilà quelques aspects sur lesquels la Côte d’Ivoire, et j’imagine, beaucoup de pays présents ici, en raison de la similarité de nos problématiques, souhaitent avoir des recommandations précises au sortir des différentes tables rondes prévues au cours de ce séminaire.
Monsieur le Ministre,
Monsieur le Vice-Président
Mesdames et Messieurs,
Je terminerai en réitérant mes remerciements, au nom de l’État de Côte d’Ivoire, au Réseau Habitat et Francophonie, pour avoir choisi d’organiser ce séminaire en Côte d’Ivoire, pays de l’hospitalité.
Tout en souhaitant plein succès à vos travaux, je déclare ouvert « LE SÉMINAIRE INTERNATIONAL SUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT ABORDABLE EN AFRIQUE ».