La 3ème édition de la fête du riz d’Oumé (FPRO), a eu lieu vendredi dans la sous-préfecture de Guépahouo, localité située à 35 km du département d’Oumé à l’initiative de cinq coopératives de femmes productrices de riz regroupées au sein de l’Organisation non gouvernementale (ONG) « Saka Doa Baillê Lehon », qui signifie en Gagou, le nouveau riz est bon à manger.
La présidente des cinq coopératives des femmes productrices de riz d’Oumé (FPRO), N’Zué Ahou Thérèse a indiqué que l’objectif de cette fête est de promouvoir la riziculture, permettre aux productrices d’accéder à un marché plus grand et favoriser les échanges d’expériences en matière de technique culturale et de commercialisation du riz.
Cette année les cinq coopératives ont produit 279 tonnes de riz. Mme N’Zué a demandé une aide aux autorités compétentes afin de leur fournir des produits phytosanitaires pour produire davantage.
Le parrain, Ahua Nassue Robert, ingénieur Agronome au ministère de l’Agriculture et du Developpement rural a offert plusieurs sacs d’engrais, des bottes, des machettes, des dabas, les limes et cinq motos tricycles aux coopératives avant de recommander à ses filleules d’être des agents de développement "afin que la pauvreté ne soit plus pour les femmes rurales une fatalité".
(AIP)
dl/tad/kam
La présidente des cinq coopératives des femmes productrices de riz d’Oumé (FPRO), N’Zué Ahou Thérèse a indiqué que l’objectif de cette fête est de promouvoir la riziculture, permettre aux productrices d’accéder à un marché plus grand et favoriser les échanges d’expériences en matière de technique culturale et de commercialisation du riz.
Cette année les cinq coopératives ont produit 279 tonnes de riz. Mme N’Zué a demandé une aide aux autorités compétentes afin de leur fournir des produits phytosanitaires pour produire davantage.
Le parrain, Ahua Nassue Robert, ingénieur Agronome au ministère de l’Agriculture et du Developpement rural a offert plusieurs sacs d’engrais, des bottes, des machettes, des dabas, les limes et cinq motos tricycles aux coopératives avant de recommander à ses filleules d’être des agents de développement "afin que la pauvreté ne soit plus pour les femmes rurales une fatalité".
(AIP)
dl/tad/kam
