Abidjan, Le vice-président, Daniel Kablan Duncan, a indiqué mardi, à l’occasion de la cérémonie officielle de l’ouverture de la 100ème réunion du conseil international du cacao (ICCO), que le taux de consommation du chocolat et des produits chocolatiers est d’environ 4%, à cause du pouvoir d’achat qui est de plus en plus élevé.
«Le taux de consommation est indéniablement faible dans les pays producteurs. En Afrique, il est d’environ 4 %, » a indiqué Kablan duncan, en justifiant que ce faible taux est dû au pouvoir d’achat qui est de plus en plus élevé.
«Le marché de la consommation du chocolat dispose encore d’une importante marge de progression liée à la montée en puissance de la classe moyenne, avec un pouvoir d’achat de plus en plus élevé et qui ne consomme pas suffisamment de chocolat et de produits chocolatés », a-t-il ajouté.
Selon lui, le marché africain du chocolat reste assez marginal dans l’industrie mondiale avec une consommation par habitant estimée à environ 500 g par an, contre un niveau pouvant aller de 4 à 12 kg dans les pays occidentaux.
En Côte d’Ivoire, a-t-il souligné, le niveau moyen de consommation annuelle est estimé à moins de 200 grammes de produits dérivés du cacao par habitant pourtant « les compagnies chocolatières, et notamment de nombreuses PME souvent nationales sont créées dans nos pays pour produire du chocolat comme c’était le cas dans les pays d’Amérique latine qui est aussi une région importante du cacao ».
Pour lui donc, le gouvernement ivoirien encourage des événements comme, la Journée Nationale du Cacao et du Chocolat (JNCC) organisée par le Conseil du Cacao de Côte d’Ivoire pour favoriser la consommation de masse du chocolat.
(AIP)
sdaf/kam
«Le taux de consommation est indéniablement faible dans les pays producteurs. En Afrique, il est d’environ 4 %, » a indiqué Kablan duncan, en justifiant que ce faible taux est dû au pouvoir d’achat qui est de plus en plus élevé.
«Le marché de la consommation du chocolat dispose encore d’une importante marge de progression liée à la montée en puissance de la classe moyenne, avec un pouvoir d’achat de plus en plus élevé et qui ne consomme pas suffisamment de chocolat et de produits chocolatés », a-t-il ajouté.
Selon lui, le marché africain du chocolat reste assez marginal dans l’industrie mondiale avec une consommation par habitant estimée à environ 500 g par an, contre un niveau pouvant aller de 4 à 12 kg dans les pays occidentaux.
En Côte d’Ivoire, a-t-il souligné, le niveau moyen de consommation annuelle est estimé à moins de 200 grammes de produits dérivés du cacao par habitant pourtant « les compagnies chocolatières, et notamment de nombreuses PME souvent nationales sont créées dans nos pays pour produire du chocolat comme c’était le cas dans les pays d’Amérique latine qui est aussi une région importante du cacao ».
Pour lui donc, le gouvernement ivoirien encourage des événements comme, la Journée Nationale du Cacao et du Chocolat (JNCC) organisée par le Conseil du Cacao de Côte d’Ivoire pour favoriser la consommation de masse du chocolat.
(AIP)
sdaf/kam