La Côte d’Ivoire, premier producteur mondial de cacao avec 1.200.000 tonnes par an veut rompre avec l’utilisation de pesticides obsolètes dans sa production.
Pour se faire, un projet de gestion des pesticides obsolètes et déchets associés a été initié depuis 2015 pour contribuer à la réduction des pesticides obsolètes c’est-à-dire les pesticides froduleux, périmés et interdit, faire éliminer également la quantité recensé et permettre à la Côte d’Ivoire de faire un virage vers l’utilisation des bio pesticides en améliorant le cadre réglementaire qui permet une gestion écologiquement rationnelle des pesticides.
Projet exécuté par la Banque Mondiale et financé par le fond de l’environnement mondial d’un coût de 5 milliards dont 2 milliards supportés par l’État de Côte d’Ivoire.
Ce vendredi 10 janvier, une délégation du Projet de Gestion des Pesticides de Côte d’Ivoire ( PROGEPCI) et de la Banque Mondiale ont effectué une mission d’évaluation des résultats de l’utilisation des bio pesticides dans le champs école pour la promotion des alternatives aux pesticides d’azaguié d’une superficie de 15 hectares. Les résultats sont excellents.
L’utilisation de bio pesticides a permis: d’identifier la pourriture brune une maladie qui ronge le cacao ( cette maladie cause la perte d’une tonne sur 3 tonnes produites), la protection des cabosses de la floraison jusqu’à la production ce qui a permis une amélioration de la productivité qui est passé de 750 kg/ hectare à 2 tonnes/ hectares.
Pour le professeur George Kouadio, Coordinateur de projet Banque Mondiale au sein du Ministère de l’environnement et du développement durable, l’utilisation de bio pesticides est une bonne stratégie de prévention des maladies du cacao pour une amélioration de la productivité.
Satisfait du rendement il a proposé passer à échelle avec une extension du projet à d’autres zones, améliorer les résultats, renforcer les capacités de tous les acteurs sur l’utilisation de bio pesticides pour mieux vendre et rédiger les bonnes pratiques sous forme de circula pour les enseigner dans les écoles d’agricultures.
Ces résultats ont aussi permis à Ambroise N’Ko, responsable exécutif du programme Agneby qui regroupe 1500 planteurs et gérant du champs école, de remporter le premier prix de l’international Cocoa Award ( ICA inter 2019, devant les producteurs du Brésil , de la Colombie etc. Il est désormais l’ambassadeur du cacao.
Rappelons que l’utilisation de pesticides chimiques à été interdit par la communauté internationale à travers certaines convention pour ses effets néfastes sur la santé humaine et la production.
On peut citer les maladies cutanées, la maladie de parkinson, le cancer et les maladies endocriniens ( naissance avec des malformations).
En Côte d’Ivoire, depuis la crise de 2002, la gestion des pesticides avait pris un coup avec pour conséquence la prolifération des pesticides obsolètes.
Un gap que veut réparer l’État de Côte d’Ivoire avec l’utilisation de bio pesticides.
PR
Pour se faire, un projet de gestion des pesticides obsolètes et déchets associés a été initié depuis 2015 pour contribuer à la réduction des pesticides obsolètes c’est-à-dire les pesticides froduleux, périmés et interdit, faire éliminer également la quantité recensé et permettre à la Côte d’Ivoire de faire un virage vers l’utilisation des bio pesticides en améliorant le cadre réglementaire qui permet une gestion écologiquement rationnelle des pesticides.
Projet exécuté par la Banque Mondiale et financé par le fond de l’environnement mondial d’un coût de 5 milliards dont 2 milliards supportés par l’État de Côte d’Ivoire.
Ce vendredi 10 janvier, une délégation du Projet de Gestion des Pesticides de Côte d’Ivoire ( PROGEPCI) et de la Banque Mondiale ont effectué une mission d’évaluation des résultats de l’utilisation des bio pesticides dans le champs école pour la promotion des alternatives aux pesticides d’azaguié d’une superficie de 15 hectares. Les résultats sont excellents.
L’utilisation de bio pesticides a permis: d’identifier la pourriture brune une maladie qui ronge le cacao ( cette maladie cause la perte d’une tonne sur 3 tonnes produites), la protection des cabosses de la floraison jusqu’à la production ce qui a permis une amélioration de la productivité qui est passé de 750 kg/ hectare à 2 tonnes/ hectares.
Pour le professeur George Kouadio, Coordinateur de projet Banque Mondiale au sein du Ministère de l’environnement et du développement durable, l’utilisation de bio pesticides est une bonne stratégie de prévention des maladies du cacao pour une amélioration de la productivité.
Satisfait du rendement il a proposé passer à échelle avec une extension du projet à d’autres zones, améliorer les résultats, renforcer les capacités de tous les acteurs sur l’utilisation de bio pesticides pour mieux vendre et rédiger les bonnes pratiques sous forme de circula pour les enseigner dans les écoles d’agricultures.
Ces résultats ont aussi permis à Ambroise N’Ko, responsable exécutif du programme Agneby qui regroupe 1500 planteurs et gérant du champs école, de remporter le premier prix de l’international Cocoa Award ( ICA inter 2019, devant les producteurs du Brésil , de la Colombie etc. Il est désormais l’ambassadeur du cacao.
Rappelons que l’utilisation de pesticides chimiques à été interdit par la communauté internationale à travers certaines convention pour ses effets néfastes sur la santé humaine et la production.
On peut citer les maladies cutanées, la maladie de parkinson, le cancer et les maladies endocriniens ( naissance avec des malformations).
En Côte d’Ivoire, depuis la crise de 2002, la gestion des pesticides avait pris un coup avec pour conséquence la prolifération des pesticides obsolètes.
Un gap que veut réparer l’État de Côte d’Ivoire avec l’utilisation de bio pesticides.
PR