Korhogo, Les acteurs de la production et de la commercialisation de la noix de cajou dans la région du Poro ont été appelés à s’engager dans le combat pour la qualité du produit et contre son exportation frauduleuse, lundi, à Korhogo, au cours d’une rencontre initiée par le comité local de veille et de suivi de la commercialisation de l’anacarde.
Le comité a également engagé les pisteurs, acheteurs bord-champs opérant pour le compte d’acheteurs agrées, à respecter le prix bord-champ fixé par le gouvernement à 400 f CFA le kg, à l'ouverture de la campagne le 6 février,.
Selon le délégué régional en charge de l'anacarde dans le Poro, Koné Issouf, les pisteurs sont à la base de tous les problèmes liés à la mauvaise qualité de la noix et à sa vente illicite hors des frontières nationales.
Pour la présente campagne, les autorités ivoiriennes ont pris une ordonnance aux termes de laquelle tous les comportements entravant son bon déroulement, à savoir le non-respect de la qualité du produit, du prix au kg au paysan et la vente exclusive en Côte d’Ivoire encourent de sévères sanctions, a-t-il rappelé.
Ces sanctions vont d’une peine d’emprisonnement de deux à 10 ans pour les trafiquants illégaux, sans compter la confiscation du produit et des camions ayant servi au transport.
La sensibilisation sur la commercialisation de l’anacarde dans la région du Poro devrait se poursuivre avec des visites dans les quartiers et les villages du département, a annoncé le préfet, André Ekponon Assomou, président du comité local de veille et de suivi de la commercialisation de l’anacarde.
(AIP)
kaem/ask
Le comité a également engagé les pisteurs, acheteurs bord-champs opérant pour le compte d’acheteurs agrées, à respecter le prix bord-champ fixé par le gouvernement à 400 f CFA le kg, à l'ouverture de la campagne le 6 février,.
Selon le délégué régional en charge de l'anacarde dans le Poro, Koné Issouf, les pisteurs sont à la base de tous les problèmes liés à la mauvaise qualité de la noix et à sa vente illicite hors des frontières nationales.
Pour la présente campagne, les autorités ivoiriennes ont pris une ordonnance aux termes de laquelle tous les comportements entravant son bon déroulement, à savoir le non-respect de la qualité du produit, du prix au kg au paysan et la vente exclusive en Côte d’Ivoire encourent de sévères sanctions, a-t-il rappelé.
Ces sanctions vont d’une peine d’emprisonnement de deux à 10 ans pour les trafiquants illégaux, sans compter la confiscation du produit et des camions ayant servi au transport.
La sensibilisation sur la commercialisation de l’anacarde dans la région du Poro devrait se poursuivre avec des visites dans les quartiers et les villages du département, a annoncé le préfet, André Ekponon Assomou, président du comité local de veille et de suivi de la commercialisation de l’anacarde.
(AIP)
kaem/ask
