Oumé - Plus de 500 femmes de la sous-préfecture de Guépahouo, située à 45 km du département d’Oumé, sont engagées dans la lutte contre la pauvreté en se lançant dans la production agricole.
« Nous avons commencés par les cultures vivrière, notamment les produits maraîchères, le manioc, car l’autosuffisance alimentaire nous préoccupe en premier lieu », a expliqué Mme Tiégou Klagnon Berte, présidente de l’ONG « femme autonome de Guépahouo », initiatrice de ce projet de regroupement, dans un entretien avec l’AIP.
La coopérative revendique déjà plus de 500 adhérentes. Cette ONG a mis à la disposition des femmes des semences et des intrants pour la campagne en cours.
Plus de 20 hectares sur les 47 disponibles sont déjà en exploitation. Les premières récoltes d’aubergine commencent à la fin du mois de septembre, a fait savoir Mme Tiégou.
« Nous aurions voulu accroître cette superficie. Mais deux situations nous handicapent. Le manque de semence et les équipements pour la culture de contre saison. Malgré ces difficultés, les femmes méritent d’être aidées. C’est ce que nous faisons pour le moment, en espérant obtenir une aide de la part des autorités compétentes de notre pays », a-t-elle ajouté.
Pour Mme Tiégou Berte, ce regroupement contribuera, à terme, à offrir des emplois stables aux jeunes et aux femmes du département.
L’ONG « Femmes autonome de Guépahouo » projette de mettre en valeur l’année prochaine, plus de 48 hectares. Après les produits vivriers, l’organisation envisage également de se lancer dans la culture du cacao et de l’hévéa.
dl/kkf/tm
« Nous avons commencés par les cultures vivrière, notamment les produits maraîchères, le manioc, car l’autosuffisance alimentaire nous préoccupe en premier lieu », a expliqué Mme Tiégou Klagnon Berte, présidente de l’ONG « femme autonome de Guépahouo », initiatrice de ce projet de regroupement, dans un entretien avec l’AIP.
La coopérative revendique déjà plus de 500 adhérentes. Cette ONG a mis à la disposition des femmes des semences et des intrants pour la campagne en cours.
Plus de 20 hectares sur les 47 disponibles sont déjà en exploitation. Les premières récoltes d’aubergine commencent à la fin du mois de septembre, a fait savoir Mme Tiégou.
« Nous aurions voulu accroître cette superficie. Mais deux situations nous handicapent. Le manque de semence et les équipements pour la culture de contre saison. Malgré ces difficultés, les femmes méritent d’être aidées. C’est ce que nous faisons pour le moment, en espérant obtenir une aide de la part des autorités compétentes de notre pays », a-t-elle ajouté.
Pour Mme Tiégou Berte, ce regroupement contribuera, à terme, à offrir des emplois stables aux jeunes et aux femmes du département.
L’ONG « Femmes autonome de Guépahouo » projette de mettre en valeur l’année prochaine, plus de 48 hectares. Après les produits vivriers, l’organisation envisage également de se lancer dans la culture du cacao et de l’hévéa.
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