Abidjan –Les organisations de la société civile souhaitent être impliquées dans les mécanismes de suivi-évaluation des projets et programmes inscrits dans le Plan national de développement (PND) 2021-2025, afin de juger de l’ efficacité de ces projets et de la rédevabilité des services publics.
Les organisations et faîtières de la société civile ont été conviées à des échanges initié par le ministère du Plan et du Développement, sur la finalisation du PND 2021-2025.
Les différentes porte-paroles de ces organisations ont souhaité en plus de la vulgarisation du PND pour une meilleure appropriation des populations, même au fin fond de l’intérieur du pays, un suivi régulier de son l’exécution, à travers notamment des revues périodiques.
Pour la présidente du Groupe des organisations féminines pour l’égalité Homme-Femme(GOFEHF) Rachelle Gogoua, la société civile étant la courroie de transmission entre le gouvernement et les communautés de bases, elle doit avoir un regard critique sur ce plan et relever les satisfactions et insuffisances au gouvernement.
Outre ce plaidoyer, la société civile souhaite une prise en compte transversale des questions liées au genre et au développement durable. Elle souhaite également que le PND oeuvre à la collecte de données fiables sur les populations et dans tous les secteurs d’activités afin de formuler des projets et programmes adaptés aux besoins des populations.
Se félicitant de l’intérêt de la société civile pour l’élaboration du PND, la ministre Kaba Nialé a assuré de la prise en compte de ses observations.
Le PND 2021-2025 est fondé sur six piliers. Sa mise en oeuvre va nécessiter un investissement de 59.000 milliards Francs CFA dont 43. 000 milliards Francs CFA, soit 74% provenant du secteur privé et 26.000 milliards FCFA réservé au secteur public.
tad/tm
Les organisations et faîtières de la société civile ont été conviées à des échanges initié par le ministère du Plan et du Développement, sur la finalisation du PND 2021-2025.
Les différentes porte-paroles de ces organisations ont souhaité en plus de la vulgarisation du PND pour une meilleure appropriation des populations, même au fin fond de l’intérieur du pays, un suivi régulier de son l’exécution, à travers notamment des revues périodiques.
Pour la présidente du Groupe des organisations féminines pour l’égalité Homme-Femme(GOFEHF) Rachelle Gogoua, la société civile étant la courroie de transmission entre le gouvernement et les communautés de bases, elle doit avoir un regard critique sur ce plan et relever les satisfactions et insuffisances au gouvernement.
Outre ce plaidoyer, la société civile souhaite une prise en compte transversale des questions liées au genre et au développement durable. Elle souhaite également que le PND oeuvre à la collecte de données fiables sur les populations et dans tous les secteurs d’activités afin de formuler des projets et programmes adaptés aux besoins des populations.
Se félicitant de l’intérêt de la société civile pour l’élaboration du PND, la ministre Kaba Nialé a assuré de la prise en compte de ses observations.
Le PND 2021-2025 est fondé sur six piliers. Sa mise en oeuvre va nécessiter un investissement de 59.000 milliards Francs CFA dont 43. 000 milliards Francs CFA, soit 74% provenant du secteur privé et 26.000 milliards FCFA réservé au secteur public.
tad/tm