« Pendant les 30 glorieuses années de notre jeune nation, dès l’obtention du BEPC ou du bac, l’ivoirien était poussé par nos dirigeants d’alors, à occuper les postes d’enseignants du primaire, de lycée, d’infirmiers (...) . Il fallait avoir une sacrée dose de courage pour poursuivre ces études au-delà du Bac+3, tellement étaient forts, les appels du pied à venir occuper des hautes fonctions dans les sociétés d’état. »
Jean Kacou Diagou
Président du patronat ivoirien