Le processus électoral est dans l’impasse depuis le déclanchement de l’affaire des 429.000 personnes qui seraient frauduleusement inscrites sur la liste électorale provisoire par le président de la commission électorale indépendante (Cei), Beugré Mambé. Face à ce blocage, la société civile a appelé récemment à Abidjan, les acteurs à recréer la confiance.
La Convention de la société civile Ivoirienne (Csci) est inquiète de ce qu'il est convenu d’appeler aujourd’hui « l’affaire Mambé » ou encore « l’affaire des 429.000 personnes frauduleusement inscrites sur la liste électorale provisoire » qui continue d’alimenter le débat politique national et risque de bloquer tout le processus électoral. En effet, le calendrier électoral fixé par le dernier Cadre permanent de concertation( Cpc) tenu le 3 décembre 2009 à Ouagadougou, qui a fixé le premier tour de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire à fin février - début mars 2010 est quasiment intenable.
De plus, les déclarations des uns et des autres ne sont pas de nature à apaiser la tension sociale. C’est pourquoi, la mission observation électorale de la Convention de la société civile ivoirienne (Csci) appelle les différents acteurs politiques et toutes les structures en charge de l’organisation des élections en Côte d’Ivoire à recréer la confiance entre eux et la population. Pour Me N’Gouan Patrick, président de la Csci, seule la confiance peut donner une issue heureuse à ce blocage.
Franck YEO
Franck-stephane.yeo@fratmat.info
La Convention de la société civile Ivoirienne (Csci) est inquiète de ce qu'il est convenu d’appeler aujourd’hui « l’affaire Mambé » ou encore « l’affaire des 429.000 personnes frauduleusement inscrites sur la liste électorale provisoire » qui continue d’alimenter le débat politique national et risque de bloquer tout le processus électoral. En effet, le calendrier électoral fixé par le dernier Cadre permanent de concertation( Cpc) tenu le 3 décembre 2009 à Ouagadougou, qui a fixé le premier tour de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire à fin février - début mars 2010 est quasiment intenable.
De plus, les déclarations des uns et des autres ne sont pas de nature à apaiser la tension sociale. C’est pourquoi, la mission observation électorale de la Convention de la société civile ivoirienne (Csci) appelle les différents acteurs politiques et toutes les structures en charge de l’organisation des élections en Côte d’Ivoire à recréer la confiance entre eux et la population. Pour Me N’Gouan Patrick, président de la Csci, seule la confiance peut donner une issue heureuse à ce blocage.
Franck YEO
Franck-stephane.yeo@fratmat.info