A l’appel de Nasryl-Ilm Côte d’Ivoire et de son guide le Cheikh Chérif Oumar Abdel Aziz, plus de dix mille (10.000) fidèles musulmans majoritairement des disciples de la Tidjaniya, réunis à l’intérieur et à l’extérieur du Palais des sports de Treichville ont magnifié, le dimanche 15 Septembre 2013, le Cheikh Ibrahima Niass. Maître de l’enseignement ésotérique islamique (la fahida). Et ce, à l’occasion du Maoulid international Bayé Niass 2013.
Une véritable réussite : on peut le dire de l’organisation de l’édition 2013 du Maoulid international Bayé Niass. Tant les attentes ont été comblées en termes de mobilisation des personnalités du monde spirituel de plusieurs pays et des fidèles musulmans venus de toutes les communes du district d’Abidjan et de l’intérieur du pays. Sous les regards satisfaits des érudits venus de l’extérieur notamment du Maroc avec le Cheikh Chérif Arazimit (petit fils de Cheick Ali Arazine, l’un des premiers khalifes de Cheick Ahmed Tijani), du Ghana avec le Sultan Oumar Faruck Saïd, Président du Comité Musulman ghanéen et Abdul Wadudu (Kumasi), du Niger avec Seyda Fatiha et Seyda Inayatoulaye, petites filles de Baye Niass basées à Kiota, Mounir Djafar du Nigéria, Seyda Mariam Kano et Hadja Amina Sy venues du Burkina Faso et Mohamed Niass de France (Paris), le guide de Nasryl-Ci a délivré un enseignement poignant. Se prononçant sur le thème : « Peut-on voir Dieu ? », le jeune érudit Tidjanite ivoirien a, d’emblée, éclairé que « Dieu est avant tout une réalité ». Et en tant que telle, il peut être saisi et vu par ceux qui se montrent serviles à son égard en le reconnaissant comme leur seul et unique maître. Passé le cap de cette reconnaissance qui s’exprime par l’obéissance totale à Allah à travers la dévotion, l’orateur du jour a appelé à passer au cap suivant. A savoir celui de l’expression tant par le corps que par l’esprit du musulman de sa servitude totale vis-à-vis du Seigneur avec qui, il s’engage dans une relation de proximité et d’intimité. «Dieu est une existence et toute existence peut être vue. Alors on peut voir Dieu. C’est vrai que le thème suscite beaucoup de curiosité et d’interrogations. Mais, voir Dieu est possible. C’est même pour cette raison, à titre de rappel que Moïse a eu à dire : Seigneur, montre-toi pour que je te vois. On peut donc voir Dieu. Mais, on ne le voit pas avec le cœur. On le voit plutôt avec les seuls yeux de Dieu Lui-même. Cela implique une élévation continue et constante dans l’adoration afin qu’Allah se montre à son serviteur et qu’il le voit avec les seuls yeux de Dieu lui-même. A ce moment là, dans l’intimité et la proximité avec Dieu, on le sent, on le touche et on le voit avec ses propres yeux», a-t-il soutenu. Bien avant cet enseignement enrichissant et émouvant fortement ovationné par l’assistance, le Cheick Taha, venu de Kaolack (Sénégal), petit fils de Cheick Ibrahima Niass, confirmé chantre d’éveil spirituel, a procédé à la lecture psalmodiée du Saint Coran. A sa suite, Cissé Abdallah, Président du Conseil des Mouqadams de Nasrul-Ilm, a vivement remercié plusieurs personnalités ivoiriennes pour leur appui. Ce sont entre autres le ministre Cissé Ibrahima Bacongo, parrain de la 17ème édition du Maoulid Bayé Niass, le ministre des Transports Gaoussou Touré et les Maires Aby Raoul et Amichia François. Ainsi que les dignitaires musulmans locaux. Notamment les Cheikh Boikary Fofana, président du Cosim, Aboubacar Karawani, Malick Konaté, président du Grise et Lamine Fadika, Guide spirituel de l’ordre Nematoulaye.
Sercom Nasryl-Ilm
Une véritable réussite : on peut le dire de l’organisation de l’édition 2013 du Maoulid international Bayé Niass. Tant les attentes ont été comblées en termes de mobilisation des personnalités du monde spirituel de plusieurs pays et des fidèles musulmans venus de toutes les communes du district d’Abidjan et de l’intérieur du pays. Sous les regards satisfaits des érudits venus de l’extérieur notamment du Maroc avec le Cheikh Chérif Arazimit (petit fils de Cheick Ali Arazine, l’un des premiers khalifes de Cheick Ahmed Tijani), du Ghana avec le Sultan Oumar Faruck Saïd, Président du Comité Musulman ghanéen et Abdul Wadudu (Kumasi), du Niger avec Seyda Fatiha et Seyda Inayatoulaye, petites filles de Baye Niass basées à Kiota, Mounir Djafar du Nigéria, Seyda Mariam Kano et Hadja Amina Sy venues du Burkina Faso et Mohamed Niass de France (Paris), le guide de Nasryl-Ci a délivré un enseignement poignant. Se prononçant sur le thème : « Peut-on voir Dieu ? », le jeune érudit Tidjanite ivoirien a, d’emblée, éclairé que « Dieu est avant tout une réalité ». Et en tant que telle, il peut être saisi et vu par ceux qui se montrent serviles à son égard en le reconnaissant comme leur seul et unique maître. Passé le cap de cette reconnaissance qui s’exprime par l’obéissance totale à Allah à travers la dévotion, l’orateur du jour a appelé à passer au cap suivant. A savoir celui de l’expression tant par le corps que par l’esprit du musulman de sa servitude totale vis-à-vis du Seigneur avec qui, il s’engage dans une relation de proximité et d’intimité. «Dieu est une existence et toute existence peut être vue. Alors on peut voir Dieu. C’est vrai que le thème suscite beaucoup de curiosité et d’interrogations. Mais, voir Dieu est possible. C’est même pour cette raison, à titre de rappel que Moïse a eu à dire : Seigneur, montre-toi pour que je te vois. On peut donc voir Dieu. Mais, on ne le voit pas avec le cœur. On le voit plutôt avec les seuls yeux de Dieu Lui-même. Cela implique une élévation continue et constante dans l’adoration afin qu’Allah se montre à son serviteur et qu’il le voit avec les seuls yeux de Dieu lui-même. A ce moment là, dans l’intimité et la proximité avec Dieu, on le sent, on le touche et on le voit avec ses propres yeux», a-t-il soutenu. Bien avant cet enseignement enrichissant et émouvant fortement ovationné par l’assistance, le Cheick Taha, venu de Kaolack (Sénégal), petit fils de Cheick Ibrahima Niass, confirmé chantre d’éveil spirituel, a procédé à la lecture psalmodiée du Saint Coran. A sa suite, Cissé Abdallah, Président du Conseil des Mouqadams de Nasrul-Ilm, a vivement remercié plusieurs personnalités ivoiriennes pour leur appui. Ce sont entre autres le ministre Cissé Ibrahima Bacongo, parrain de la 17ème édition du Maoulid Bayé Niass, le ministre des Transports Gaoussou Touré et les Maires Aby Raoul et Amichia François. Ainsi que les dignitaires musulmans locaux. Notamment les Cheikh Boikary Fofana, président du Cosim, Aboubacar Karawani, Malick Konaté, président du Grise et Lamine Fadika, Guide spirituel de l’ordre Nematoulaye.
Sercom Nasryl-Ilm
