Le Président ivoirien, Alassane Ouattara a dit mercredi, à l’inauguration de l’autoroute du nord à Yamoussoukro, que cette œuvre vient de faire du rêve du président feu Félix Houphouët Boigny, « une réalité ».
« L’inauguration de la section Abidjan-Singrobo a été réalisée par le président Houphouët Boigny en 1981 », a rappelé Alassane Ouattara qui ajoute que l’objectif était d’atteindre la ville de Yamoussoukro, la capitale politique et administrative du pays.
En achevant 32 ans après, ce projet, qui est le seul à n’avoir pas été achevé par le premier président de la République de Côte d’Ivoire, le Président Ouattara pense avoir « fait du rêve » d’Houphouët Boigny, « une réalité ».
La seconde section de cette autoroute relie le village de Singrobo à Yamoussoukro (87 kms), donnant donc une autoroute qui part d’Abidjan jusqu’à Yamoussoukro. Long de 230 km, le tronçon bénéficie de toutes les normes de sécurité notamment de radar, de vidéosurveillance, de centre de santé d’urgence, de police et de gendarmerie autoroutière, des ambulances, et des opportunités de prise en charge urgentes d’accidentés.
Après cette section, le Chef de l’Etat a annoncé pour l’année 2014, le lancement des travaux de la section de Yamoussoukro-Bouaké. Ces commodités font de cette infrastructure, « l’une des meilleures de la sous-région » a affirmé M. Ouattara en présence des bailleurs de fonds et des entreprises qui ont réalisé l’ouvrage dont les représentants ont été élevés au rang de l’ordre national de Côte d’Ivoire.
En marge de la cérémonie d’inauguration officielle, le président Ouattara s’est félicité d’avoir réalisé ce vœu si cher au père fondateur de la Côte d’Ivoire, car, a-t-il expliqué « ce projet est très important pour l’ensemble du pays ».
D’un coût total de 137 milliards FCFA le projet du prolongement de l’autoroute d’Abidjan à Yamoussoukro démarré en 2007, a été financé par l’Etat ivoirien avec l’appui financier de bailleurs de fonds internationaux dont la Banque Islamique de Développement (BID), le Fonds Saoudien de Développement (FSD), la Banque Arabe de Développement Economique de l’Afrique (BADEA), le Fonds Koweitien de Développement Economique Arabe (FKDEA) et le Fond de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).
JBK/ls/APA
« L’inauguration de la section Abidjan-Singrobo a été réalisée par le président Houphouët Boigny en 1981 », a rappelé Alassane Ouattara qui ajoute que l’objectif était d’atteindre la ville de Yamoussoukro, la capitale politique et administrative du pays.
En achevant 32 ans après, ce projet, qui est le seul à n’avoir pas été achevé par le premier président de la République de Côte d’Ivoire, le Président Ouattara pense avoir « fait du rêve » d’Houphouët Boigny, « une réalité ».
La seconde section de cette autoroute relie le village de Singrobo à Yamoussoukro (87 kms), donnant donc une autoroute qui part d’Abidjan jusqu’à Yamoussoukro. Long de 230 km, le tronçon bénéficie de toutes les normes de sécurité notamment de radar, de vidéosurveillance, de centre de santé d’urgence, de police et de gendarmerie autoroutière, des ambulances, et des opportunités de prise en charge urgentes d’accidentés.
Après cette section, le Chef de l’Etat a annoncé pour l’année 2014, le lancement des travaux de la section de Yamoussoukro-Bouaké. Ces commodités font de cette infrastructure, « l’une des meilleures de la sous-région » a affirmé M. Ouattara en présence des bailleurs de fonds et des entreprises qui ont réalisé l’ouvrage dont les représentants ont été élevés au rang de l’ordre national de Côte d’Ivoire.
En marge de la cérémonie d’inauguration officielle, le président Ouattara s’est félicité d’avoir réalisé ce vœu si cher au père fondateur de la Côte d’Ivoire, car, a-t-il expliqué « ce projet est très important pour l’ensemble du pays ».
D’un coût total de 137 milliards FCFA le projet du prolongement de l’autoroute d’Abidjan à Yamoussoukro démarré en 2007, a été financé par l’Etat ivoirien avec l’appui financier de bailleurs de fonds internationaux dont la Banque Islamique de Développement (BID), le Fonds Saoudien de Développement (FSD), la Banque Arabe de Développement Economique de l’Afrique (BADEA), le Fonds Koweitien de Développement Economique Arabe (FKDEA) et le Fond de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).
JBK/ls/APA